La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°611)
Datte: 13/06/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... étirant ma poitrine au maximum. Les doigts de la femme sont plus insistants, je dégouline. Dans un souffle, je cris, demandant, que dis-je, suppliant plutôt, l'autorisation de jouir. A peine mes mots prononcés, qu'une claque s'abat sur ma joue droite, Mes suppliques sont inutiles : Cette gifle me fait comprendre que le silence m'est imposé. Je tente de garder le contrôle, mais cela est impossible, je sens une vague de chaleur me parcourir, je me mords les lèvres, pour ne pas hurler. Les doigts glissant en moi, le plug aux vibrations maximum, je me sens partir. Je sens mon sexe se vider, le liquide se répand entre mes jambes, un cri rauque s'échappe de ma gorge… Je jouis en essayant de cacher cet orgasme mais en vain, l’excitation est trop forte … Tout mon corps a des spasmes comme s’il avait reçu une décharge électrique, je me peux pas me contrôler quand j’éclate ma jouissance… Ce Maître et cette Maîtresse ont réussi, à dessein, à me faire jouir juste pour me faire désobéir. Ils ont donc eu une attitude plus que perverse laquelle je vais subir pleinement les conséquences par ce qui va suivre … A peine mon corps commence à sa calmer, que le Maître me remet les pinces à mes seins puis la voiture s'arrête net, Walter s’étant garé dans un chemin lequel me faire comprendre que nous avons quitté la départementale menant au Château. J’aperçois furtivement de grands arbres, ce qui me fait penser que nous nous trouvons à l’orée d’une forêt. Le Majordome coupe le moteur, puis il se ...
... penche sur moi, et défait mes liens. Je suis toujours un peu en transe, je ne prête pas attention aux alentours, mis à part la vision de ces grands arbres car j'ai l'esprit ailleurs, savourant encore le plaisir que je viens d'avoir. Maitre John, sort de la voiture et m'ordonne sèchement de le suivre. Je m'exécute maladroitement, j'ignore où nous sommes, et une fois à l’extérieur de la voiture, je jette de nouveau un rapide coup d'oeil aux alentours, il commence à faire sombre, nous sommes belle et bien en pleine forêt laquelle maintenant j’aperçois pleinement. Je suis me pose à genou au pied de Maitre John, les genoux contre les petits cailloux de ce chemin de terre, je garde le silence face à la douleur. Walter m'accroche la laisse à mon collier. Puis, il empoigne celui-ci, me fait mettre debout, et sans un mot, il avance en direction de l'arbre le plus proche. Je le suis bien contente d'être debout, évitant ainsi à mes genoux et mes poignets d'être éraflées par les pierres disposés ci-et-là dans ce chemin aux ornières creusées par les tracteurs. Une fois que je suis arrivée à l'arbre, il accroche ma laisse à une branche, m'ordonne de placer mes mains dans mon dos, et me lie les poignets. Il ajuste une dernière fois les liens solidement, m'observe un instant, et satisfait de son œuvre par un sourire pervers, il me retire les pinces à mes seins, ainsi, que les boules de Geisha, et le plug présent entre mes entrailles. Ainsi, nue, portant uniquement mon collier, je vois Walter ...