Tranche d'intimité - Histoires de Sexe

Tranche d'intimité

... des pics à trois, voire à quatre fois quand ma libido trouve quelque motif spécial pour se revigorer (les fantasmes servant évidemment de facteur déclenchant en pareilles circonstances). Ce que je vais raconter est donc le cas le plus fréquent – quasi-routinier mais combien agréable, reposant et déstressant – les variantes étant de toutes façons assez ressemblantes pour ne pas les relater ici. Le soir, je suis le premier au lit après une douche bien chaude dont je profite parfois pour me raser le pubis afin de présenter à mon épouse un sexe nu dans toute sa beauté. Je me glisse sous le drap, torse nu. D’une taille appréciable tant en longueur qu’en rondeur (je mesure 1m78 mais je ne sais vraiment pas s’il existe un lien avec la longueur du sexe), je ne me vanterai pas d’avoir un gourdin (comme ceux qu’on voit parfois dans des vidéos) en guise de phallus. De par sa taille somme toute modérée, mais surtout en raison d’une sensibilité extrême dont j’ai ressenti les symptômes dès l’âge de 6 ou 7 ans, mon sexe se met spontanément en érection à la moindre situation suggestive et devient aussi raide qu’un morceau de bois même après qu’il s’est déchargé de sa sève. Circoncis, mon pénis présente un aspect de toute beauté dont doivent bien rêver les hommes non circoncis (sans parler des femmes), tant le prépuce rend leur phallus inesthétique. Le gland, assorti et proportionné à la colonne, vire au le rose-rouge pour contraster merveilleusement avec le ton brun foncé de la colonne et ...

... des testicules. Mon épouse passe ensuite pour prendre un bain en se prélassant dans la baignoire tout en se savonnant plusieurs fois et en s’épilant et se parfumant. Plus petite que moi et bien en chair, elle a des fesses larges et un buste étroit et tout en elle garde quelque chose d’enfantin. Nos jeux érotiques n’en sont pas moins riches de sensations insoutenables pour moi. La chambre est volontairement plongée dans le noir, quoiqu’atténué par la lumière qui pénètre par les interstices des volets. Je suis allongé de tout mon long sur le dos en me délectant par avance des ébats qui se préparent. Je l’entends entrer et soulever délicatement la couverture et le drap pour se glisser dans le lit en silence. Je reste immobile, en attente. De longues secondes qui paraissent des heures passent puis, de sa main droite et en se tournant imperceptiblement de mon côté (je suis toujours côté gauche et elle côté droit), elle pose sa paume sur ma poitrine et l’y laisse ainsi encore plusieurs secondes qui paraissent une éternité. Toujours immobile et silencieux, j’attends. La main se soulève alors légèrement et commence un ballet de caresses sur la poitrine, avec des rondes aériennes sur le sein droit puis sur le sein gauche qui se dressent tels les seins d’une adolescente à peine éveillée aux choses du sexe. Bien que d’une sensibilité quasi-maladive tant je sens mon corps s’électrifier au moindre contact et sous tout prétexte à caractère sexuel, ce sont les seins (après le pénis bien sûr ...