1. Badinerie au conservatoire, l'art de la flûte traversière


    Datte: 14/06/2021, Catégories: h, jeunes, musique, volupté, Oral

    Je connais Julie depuis peu de temps. Je la croise souvent dans les couloirs du conservatoire. C’est une jolie brunette aux yeux bleus, ses cheveux sont courts avec un minois très fin quoique légèrement androgyne. Son corps est gracieux avec de jolies fesses bien rebondies. J’adore sa moue boudeuse et un peu hautaine. Julie est une élève discrète mais très douée de la classe de flûte traversière. La discrétion n’est pas la vertu première de son ex-copain Max, un trompettiste qui se targue d’avoir attrapé plus de la moitié des filles « baisables » de cet austère établissement. Max est un sacré obsédé et souvent au café d’en face, avec un coup dans le nez il raconte à qui veut l’entendre ses exploits sexuels. On se demande comment Julie a pu succomber à un dragueur aussi lourdingue. Un cuivre en plus… Ce jour, après la répétition de l’orchestre symphonique, nous avons droit avec quelques camarades à tous les détails : — Julie…trop craquante mais au lit…une vraie planche. Pas entreprenante la petite mais pour la sucette mention TB ! Il nous raconte comment Julie cédait à toutes ces requêtes dans une sorte de soumission béate. Il évoque ce jour ou il est venu chez elle accompagné de son pot Ricardo, tromboniste black, brésilien. La soirée avait été bien arrosée, Salsa etc…. Julie a dû pratiquer une fellation sur son ami (par ailleurs lourdement membré) alors que lui l’a prise par derrière. Nous, on écoute Max, effarés par la crudité de son récit et le parfum de scandale qu’il ...
    ... propage. Pauvre Julie elle va se traîner une drôle de réputation si cette histoire sort de ce café. J’avoue que tout cela me laisse rêveur et nourris mes phantasmes. J’aimerais bien avoir autant d’aventures que Max. Je me masturbe parfois le soir en imaginant l’adorable Julie agenouillée suçant tour à tour le sexe épais de Ricardo et de Max. Bien que beau garçon je suis loin d’avoir l’audace extrême de Max. C’est je jour du concours final pour la classe de SUP de flûte traversière. Le concours est public et je viens écouter Julie qui affronte avec aisance les difficultés de son programme : d’abord une sonate de Martinu puis le difficile concerto de d’Ibert. Son jeu est volubile à souhait, sa sonorité bien charnue c’est un succès pour Julie qui obtient sa médaille d’or à l’unanimité. Dans la cour ça discute dur et je félicite chaleureusement Julie. Je lui évoque mon projet de créer un orchestre pour monter un programme de musique de film et elle semble enthousiaste. Une semaine plus tard la répétition commence et lorsque je dirige un premier morceau je remarque ses regards très tendres et insistants. OUPS quelque chose est en train de se passer… Après la répétition j’invite Julie à boire un verre et nous discutons calmement de la répétition et de nos projets musicaux. Le regard de Julie a un" je ne sais quoi" de troublant, ses propos sont attentionnés mais avec une pointe d’ironie malicieuse. Nous sommes tout deux à pied et je la raccompagne. Arrivés en bas de chez-elle : — Tu ...
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