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Badinerie au conservatoire, l'art de la flûte traversière
Datte: 14/06/2021, Catégories: h, jeunes, musique, volupté, Oral
... montes un moment boire un thé ?— Ouai…ok. Là mon cœur accélère, déjà pour une fille soi-disant pas entreprenante elle assure quand même… On monte péniblement l’escalier jusqu’au quatrième. Son petit studio sous les toits est très coquet avec ses poutres mais il y fait assez chaud. Il y a un petit piano droit dans un coin et je regarde les partitions pausées en vrac sur le pupitre. — Je savais pas que tu jouais aussi du piano !— Oh …je me débrouille, je déchiffre quelques trucs. Je tombe sur un recueil de transcriptions d’opéras pour piano à quatre mains. — Voyons voir. Je m’installe du côté des basses et Julie récupère un autre tabouret et sans se faire prier, s’installe à ma droite. « Prélude de Tristan » R.WAGNER. Très vite nos mains et nos bras se frôlent. Le piano à quatre mains a cet inconvénient qui peut devenir un avantage de se pratiquer dans une grande promiscuité… La musique passionnée de Wagner et sa grande tension chromatique ajoute au caractère torride à la situation. Je suis en bermuda et mes jambes rencontrent également les cuisses de Julie qui porte une jolie jupe noire. On termine quasiment essoufflés le morceau, épuisés par notre effort de lecture exacerbé par tout ses frôlements. — C’était beau !— C’était bien… Nos deux jambes sont restées collées et nos doigts demeurent comme connectés. On se jette un dernier regard fiévreux et nos deux corps transpirants s’étreignent. Nous nous embrassons langoureusement toujours sur nos tabourets contigus, nos mains ...
... explorent l’intérieur de nos vêtements qui ne tardent pas à voler dans les recoins du studio. A présent nous continuons quelques minutes nos caresses et contorsions. On ne peut continuer ainsi. Je dévore ses petits seins tout en caressant sa fente. . Les doigts agiles de Julie trouvent ma queue déjà fort raide. Soudain Julie d’une voix un peu tremblante propose : — Tu veux que je te prenne dans ma bouche ?— Oui s’il te plaît… Alors que je reste comme vissé de stupeur sur mon tabouret de piano, Julie s’agenouille entre mes cuisses. D’une main elle saisit délicatement mes bourses et de l’autre commence par me branler doucement. — Tu sais Gabriel ça fait plaisir de rencontrer un garçon gentil et délicat comme toi, il y a tellement de gars bourrins au conservatoire…— Julie, attention tu vas me faire jouir si tu continues comme ça…— Oh ….excuse-moi… Elle se penche à présent et commence à embrasser ma queue et à la lécher avec minutie. Le spectacle extraordinaire qui s’offre à mes yeux amplifie encore la subtilité de mes sensations. La langue de Julie tournoie à présent avec aisance autour de mon gland. Dans ma tête je dois bien remercier le trivial Max d’avoir initié Julie à de tels raffinements. Sa bouche épouse mon désir avec application, avale et suce mon membre sur presque toute sa longueur alors que sa main gauche continue à malaxer savamment mes couilles ou s’agite une sourde révolution. — Je vais jouir si…. Sortant ma queue de ses lèvres pour répondre : — Jouis tu me prendras ...