1. Top Model (7)


    Datte: 15/06/2021, Catégories: Transexuels

    ... que je préférai le plus, ce soir-là avec Stéphane, c’était savoureux. Il se redressa. Je sentis son membre à l’entrée de ma grotte. Il poussa, doucement, patiemment et entra de tout son long. Je soupirai. Il me fit l’amour tendrement. Comme à une femme. Comme si j’étais une femme. Comme si j’étais sa femme. Cette sensation de féminité me troublait. Ce n’était plus une question de fringues, de talons hauts et de maquillage. C’étaient des mots, des attitudes envers moi, des mais sur mes hanches qui me rendaient femme. Me faisaient femme. Je me mis à gémis à l’unisson de ses coups de reins. Jusqu’à présent, je m’étais conduite comme un travesti, un garçon habillé en fille, découvrant les plaisirs au masculin. Ce soir, je franchissais un cap. Soudain, je me dégageai de son étreinte — Ça ne va pas ? me demanda Stéphane, paniqué — Si tout va bien, dis-je en m’allongeant sur le dos et écartant mes jambes. Viens ! Car quelle position était la plus pratiquée par les couples hétéros, celle du missionnaire. Stéphane revint en moi. Je passai mes bras autour de son cou et l‘attirai pour l’embrasser. J’ahanai. Mon sexe mou gigota dans tous les sens. C’était merveilleux. Stéphane se retira et me retourna une nouvelle fois sur le ventre, les bras et les jambes en croix. Il s’allongea sur moi, épousant mon corps frêle. Je sentis son sexe toujours dur s’infiltrer dans mon sillon, ...
    ... chercher l’entrée de la grotte. Il s’y insinua tout doucement. Je sentais son sexe avancer millimètre par millimètre. Pesant de tout son poids sur moi, sa bite en moi, je me sentis soudain vulnérable, totalement à sa merci. Il pouvait me faire subir le dernier des outrages sans que je puisse me défendre. Mais ce n’était pas son but. Il voulait juste me donner du plaisir et en prendre aussi. Je goutai à la soumission. Et il y avait quelque chose de jouissif, bien plus fort que dans un banal acte sexuel. Je commençai à entrevoir ce qu’éprouvait Diamond. Stéphane se releva un peu et me pilonna de plus en plus fort. Et j’en demandai encore plus. Il s’arrêta net, fiché au plus profond de moi et éjacula dans la capote. J’étais vidé. Je ne savais pas si j’avais eu un orgasme, mais il était certain que je n’avais jamais ressentis de plaisir aussi fort. On s’embrassa longuement. — Merci, dis-je. C’était très bon. — Merci à toi, répondit Stéphane. Tu es une amante formidable. Tu te doutes bien que j’en ai eu pas mal mais toi tu es en haut de la liste. Et au ton employé, je savais que ce compliment était sincère. — Je peux prendre une douche ? — Oui, bien sûr. Je lui dis au revoir sur le pas de la porte. J’étais toujours en tenue d’Eve. On s’embrassa encore une fois. — On se reverra ? me demanda-t-il. Je ne répondis pas, me fendant juste d’un grand sourire avant de me mordre la lèvre. 
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