Un travail parfait ? (Sissyfication) (Ep. 2)
Datte: 15/06/2021,
Catégories:
Anal
Gay
Transexuels
... alors me testait-elle pour voir si j’obéirais ?Toujours est-il qu’au lieu de m’insurger et de rentrer chez moi, je m’assis et commençais à travailler. Était-ce pour le salaire ? Parce que je pensais à elle ? Je ne saurais le dire… J’avais quasiment terminé lorsque elle arriva.- Pierre ! Que je suis contente de vous voir ici, en plein travail ! Merci ! Votre aide m’aura été précieuse…Elle portait une robe noire, très moulante, qui mettait sa poitrine en valeur, avec un joli décolleté, la robe s’arrêtait à mi-cuisse, des bas noirs gainant ses jolies jambes, des talons aiguilles rehaussant sa taille… elle était superbe, j’avais envie de me lever, de l’embrasser… c’est à ce moment que le type entra. Sa tête me disait quelque chose, je l’avais déjà vu à la TV… c’était un homme politique connu dans la région, mais je ne me souvenais pas de son nom. Il reluquait sans vergogne le cul de Nancy, tandis qu’elle me demanda de descendre les archives à l’endroit prévu, et que je pouvais ensuite rentrer chez moi… Puis elle entra dans son bureau avec le gars et ferma la porte.Je me sentais utilisé et rejeté ! J’allais chercher un petit chariot métallique, pour déposer les dossiers, puis poussais en râlant le chariot rempli de dossier vers l’ascenseur. Je descendis jusqu’au -1, l’étage où se trouvait les archives. Je poussais mon chariot jusqu'à la porte du local, et c'est là que je me rendis compte que j’avais oublié mon badge dans mon bureau… pestant, râlant de plus belle, je laissais le ...
... chariot là (il n’y avait quand même personne dans les couloirs) et repris l’ascenseur jusqu’au 45e… Je vis tout de suite mon badge sur mon bureau… pourtant ce n’est plus à lui que je pensais… Les bruits qui venaient du bureau d’à côté étaient sans ambages, ils s’envoyaient en l’air ! Et si je l’entendais si bien, c’est que la porte communicante était ouverte… ou du moins fort entrebâillée… Bon, je devais prendre mon badge et retourner aux archives… un râle de plaisir de ma patronne me cloua sur place… je voulais voir, je voulais la voir…Je m’approchais doucement de la porte et jetais un rapide regard… Elle était face à moi. Le gars était assis dans un des fauteuils du salon, le pantalon et slip aux chevilles. Elle était sur lui, dos à lui, face à moi… Ses mains sous ses cuisses, il la faisait monter et descendre le long de son membre bandé, son pieu de chair planté entre ses fesses… ses seins généreux, aux larges alvéoles brunes et aux tétons très pointés dansaient au fur et à mesure que son corps coulissait le long du membre du gars… Sa robe relevé jusqu’à sa taille me permettait de voir son string en dentelle rouge, la ficelle sur le côté pour laisser libre accès à son anus, et devant, elle avait un pénis, qui ballottait lui aussi au gré de des coulissements de son corps le long du pieu du gars… je l’avais bien deviné… elle avait un beau sexe, à demi bandé il était presque aussi gros que le mien dans sa plénitude ! Qu'est-ce que ça devait être lorsqu'il était tout à fait ...