Un travail parfait ? (Sissyfication) (Ep. 2)
Datte: 15/06/2021,
Catégories:
Anal
Gay
Transexuels
... bandé ! Il semblait doux, sans un poil, comme les deux bourses qui pendaient sous sa verge luisante de pré-sperme… Le gars ne pouvait pas me voir, derrière elle, mais j’avais une vue plongeante sur sa verge qui apparaissait et disparaissait dans le cul magnifique de Nancy… Elle dardait son regard sur moi… elle savait que j’étais là, m’avait directement vu… mais n’en montrait rien, et lorsque nos regards se croisèrent, elle passa sa langue sur ses lèvres d’une façon si lascive… le rouge aux joues, je reculais doucement, pris mes affaires, et descendit terminer mes archives, puis rentrais chez moi sans remonter à nos bureaux…Je n’en avais vu que quelque secondes, pourtant j’en rêvai la nuit, et me branlai le dimanche en pensant à elle… Elle avait un corps parfait, et même le fait qu’elle ait un pénis ne me dérangeait pas du tout. Elle était si belle ! Si l’on m’avait dit ça avant, j’aurais dit un « non merci » avec une mine dégouttée… moi, trouver un pénis beau ! J’étais totalement hétéro ! Mais le fait de l’avoir vu, et sur une si jolie femme rendait les choses différentes. Cela rendait même son pénis désirable.J’arrivais au bureau le lundi avec une boule dans le ventre, ne sachant comment elle allait réagir… mais elle fit semblant de rien, étant tout à fait comme d’habitude. Nous eûmes notre réunion pour préparer la semaine, avec les tâches principales que j’aurais à accomplir, en plus des tâches journalière, puis un briefing sur les réunions prévues et les dossiers à ...
... préparer.L’après-midi nous eûmes la réunion avec les chefs de département, mais tout semblait aller bien, il n’y avait rien de spécial. J’y appris tout de même deux choses. D’abord que les trois sœurs Posseis habitaient dans le building, dans les trois derniers étages, ceux où il faut avoir une clef pour y accéder. Le chef du département maintenance y fit allusion en parlant que les services d’incendie de la ville râlaient de n’avoir pu visiter les trois derniers étages pour leur inspection bisannuelle des risques incendies. Et aussi que l’enquête sur la mort de mon prédécesseur (celui dont Gérard m’avait parlé l’autre jour) se clôturait bien sur la thèse du suicide, au grand dam de sa famille. Les syndicats firent allusion à un journal de gauche qui avait lancé de perfides rumeurs quant à des pressions du ministère de la justice en ce sens, pour étouffer l’affaire (n’était-ce pas là que travaillait l’homme que j’avais vu samedi avec Nancy ?), mais elle balaya ces rumeurs d’un sourire enjôleur et un signe de la main, comme si ce n'était rien de grave.Nancy quitta le bureau après la réunion, moi je remontais terminer quelques dossiers. Lorsque j’eus fini il était de nouveau aux alentours des 20h, et j’étais seul. J’allais mettre ma veste, lorsque j’entendis de nouveau des sons dans le couloir. Mon ventre se serra d’excitation lorsque je constatai que la porte du cagibi était à nouveau ouverte. Je fis d’abord un tour de tout l’étage, mais il n’y avait personne… j’entrais dans le ...