Moi aussi, je suis cocu
Datte: 15/06/2021,
Catégories:
fh,
parking,
amour,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
confession,
couple,
... lorsqu’elle les presse l’un contre l’autre. Chaque fois que mon gland se rapproche de ses lèvres, elle joue avec sa langue. Mais maintenant, je suis sûr qu’elle me trompait déjà et qu’elle voulait séduire son amant, non, ses amants si j’ai bien compris la conversation. Le second point qui aurait dû m’alerter, c’est sa fringale de sexe. On s’est toujours bien entendu au lit et Muriel est une bonne amoureuse. Mais la plupart du temps, c’est moi qui déclenche les hostilités, sauf peut-être certaines nuits d’été ou après des soirées arrosées. C’est ce qui m’a séduit en elle. Souvent je lui dis qu’elle a deux faces. Janus. Bourgeoise le jour et ma douce salope, la nuit. Je me souviens très bien. Tout a commencé un soir où justement nous rentrions en voiture d’une soirée chez des amis, soirée très raisonnable d’ailleurs. Aussitôt dans la voiture, elle se plaint de la chaleur, ouvre la fenêtre, m’interroge. — J’ai chaud. Pas toi ? Mets la clim, s’il te plait. Je m’exécute. Pourtant il ne fait pas une chaleur particulière. Quelques kilomètres plus loin, elle se tourne vers moi. — Chéri, je suis chaude de partout. Tu ne veux pas t’arrêter ? Le ton est particulier. Je la regarde. Ses yeux brillent. Elle porte un sourire qui… Mais je suis pressé de rentrer pour me coucher. — On est à la maison dans dix minutes. Tu prendras une douche pour te rafraîchir. Elle ne dit rien mais je sens qu’elle bouge sur son siège. Une main se pose sur ma cuisse, puis une autre. Elle s’est complètement ...
... tournée de mon côté et me caresse en les faisant remonter vers mon entrejambe. Bien sûr, ses mouvements produisent leur effet et mon sexe gonfle. C’est inconfortable. Je suis prisonnier de mon slip et de mon pantalon. Je me tortille. Elle comprend, cherche à défaire la braguette, mais la ceinture de sécurité bloque tout. Elle a gagné. Heureusement une aire de stationnement se présente. Je m’y engage et stoppe dans le coin le plus reculé possible. Nous sortons de la voiture. Comme dans un mauvais film X, je la pousse sur le capot, relève sa jupe, constate en passant qu’elle a déjà enlevé sa petite culotte et, le pantalon sur les genoux, je la prends sans ménagement. Enfin, quand je dis que je la prends, en réalité c’est elle qui attrape ma verge dressée et la dirige vers sa grotte. Je ne sais pas si c’est elle qui recule, moi qui avance, les deux sûrement, mais la seconde suivante, mes couilles frappent ses fesses. Ce n’est pas un vagin, mais une piscine. Je me demande un instant si elle ne s’est pas déjà caressée avant, pour être si humide. L’heure n’est pas aux discours. Elle se tortille. J’attaque sans douceur. Le lieu ne s’y prête pas. Les phares des voitures qui repartent du parking nous éclaboussent, mais ils sont en pleine accélération et ne peuvent pas nous voir. Juste un petit flash qui excite. Merde, il y a quelqu’un. Là, sur le banc, allongé, complètement confondu avec l’ombre. Il faut ces flashes furtifs pour le voir. Il doit dormir. Non, il s’assied… — N’arrête pas. ...