Moi aussi, je suis cocu
Datte: 15/06/2021,
Catégories:
fh,
parking,
amour,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
confession,
couple,
... Continue. Sans m’en rendre compte, j’ai stoppé mes mouvements de baise. Je reprends pour ne pas inquiéter ma femme. L’homme ne bouge pas. Il faut quelques passages de voiture pour que je puisse saisir son expression, pourtant il n’est qu’à quelques mètres. Il nous regarde, c’est tout. Je suis rassuré et le surveillant d’un œil, je me concentre sur ma situation. Finalement ce n’est pas si mal. C’est drôle, mais cette présence m’oblige à donner le meilleur. Je ne le connais pas, il ne me connaît pas, et pourtant je me sens comme en examen. C’est ridicule bien sûr, mais c’est notre nature, à nous les hommes. Quoique les femmes… Mais c’est un autre sujet… — C’est bon ! C’est bon ! Encore. OUI !— Chut, pas si fort. Ma femme se lâche et crie son plaisir. Normalement nous sommes dans l’intimité de notre chambre, mais là… Elle réplique : — Mais il n’y a personne. Et je ne la détrompe pas. Au contraire je la force, j’accélère, je la baise comme une « p… » de parking. C’est bon. Elle crie qu’elle va venir, que ma queue lui fait du bien. Enfin, tout ce qu’une femme peut dire à son mari, ou son amant, lorsqu’elle sent que la jouissance vient. Et ce soir-là, j’ai donné le meilleur. Elle a crié plusieurs fois avant que je balance des litres de foutre. Des litres, enfin vous avez compris, suffisamment pour que lorsque votre queue glisse doucement du puits d’amour, vous puissiez voir des traces de sperme le long des cuisses. Mais le quotidien fait son retour et elle s’essuie avec la petite ...
... culotte miraculeusement apparue dans sa main, pendant que je rentre ma queue humide et gluante dans mon slip. Juste un petit signe, pouce levé, de notre voyeur avant de reprendre la route. C’est en retirant mon slip taché, à la maison, que tout me revient. Je suis le sexe à l’air, en route pour une mini-toilette, ma femme juste à côté et je ris. — Tu sais tout à l’heure lorsque je t’ai demandé de ne pas parler si fort ?— Oui, et alors ?— Eh bien, quelqu’un nous observait.— Non ! Mais pourquoi ne rien me dire ?— Je ne voulais pas t’effrayer. Il était calme. Il regardait, c’est tout. Nous l’avons dérangé dans son sommeil.— Il était là depuis le début ?— Oui.— Tu aurais dû me le dire.— Pourquoi ? Tu étais dans ton trip.— On sait jamais ? Et toi, quel effet cela t’a fait.— Aucun, j’ai géré. C’est tout.— Ah bon. Tu baises ta femme, sur le capot de la voiture, dans un parking, un gars regarde et tu n’as aucune réaction.— Mais non !— Menteur. Regarde. Et je baisse les yeux. Elle a raison. Je fantasme. Je bande. — Monsieur est encore en forme ! Cela tombe bien, moi aussi. Elle me pousse sur le lit, enlève ses derniers vêtements, m’enjambe et se place sur moi, tête bèche. Elle me suce pendant que sa mouille descend sur mon visage. Son odeur est forte, mélange de transpiration, de sperme et de son jus. Je n’aime pas particulièrement goûter mon propre sperme mais je n’ai pas le choix. Elle m’écrase et j’ai bien du mal à respirer. Sa bouche m’engloutit avec frénésie. C’est trop bon. De ...