1. Moi aussi, je suis cocu


    Datte: 15/06/2021, Catégories: fh, parking, amour, Masturbation Oral 69, pénétratio, fsodo, confession, couple,

    ... C’est vrai, j’ai fait une connerie. Le jour et la nuit. Deux sœurs si différentes. Muriel, sage, réservée, et Laure sa cadette de dix ans, extravertie, libérée. D’après ce que je sais, elle bosse comme mannequin, je ne sais où, mais avec le train de vie qu’elle affiche, j’ai toujours pensé qu’elle usait de ses charmes pour arrondir ses fins de mois. Les deux sœurs sont très attachées et il ne se passe pas une journée sans qu’elles se téléphonent. Il y a six mois, un dimanche matin, alors que je suis sur le point de partir faire un jogging, Laure appelle sa sœur qui tout de suite me retient sur le pas de la porte. — …— Oui, bien sûr, il va venir.— …— Mais non, cela ne le dérange pas. Il est déjà en tenue. Bises. Elle raccroche. — Il faut que tu ailles chez Laure. Elle doit déplacer une armoire pour des travaux demain et le gars qui devait le faire s’est désisté au dernier moment. Je fais la gueule. — Tu ne peux pas lui refuser ce service. Souvent elle me dépanne pour le boulot. Une demi-heure plus tard je sonne chez la belle-sœur. Bisous, bisous. Elle sent bon. Débardeur au ras du nombril et short jean. Pas de soutif. Pas nécessaire. J’ai toujours pensé qu’ils étaient faux. Remerciements de circonstance. Remarque sur ma tenue. Eh oui poulette, j’avais prévu un jogging, donc, survêtement. Café ? Non, merci ! Elle m’entraîne dans sa chambre. C’est la première fois que j’entre ici. Elle vient de déménager. En tout cas ce n’est pas une chambre, c’est une salle de bal. Quand on a ...
    ... une chambre de cette dimension, ce n’est pas pour dormir, enfin, pas uniquement. Elle me montre la fameuse armoire. Je tombe sur le cul. C’est en réalité un pan de mur entier qui est habillé par une succession d’étagères, de tiroirs et de penderies. J’imagine que mon air effaré l’inquiète et pour me rassurer. — Rien n’est fixé au mur. Tout se démonte. D’ailleurs j’ai gardé la notice et les outils. Et elle me montre fièrement un tournevis électrique. J’attrape mon portable, appelle ma femme. — Chérie, je ne pourrai pas rentrer pour déjeuner. Ce sera plus long que je pensais. Je te tiens au courant. Bises. Elle n’a même pas vidé les meubles. On doit tout se coltiner. Le lit est vite submergé, il faut en transférer dans le salon. Je n’ai jamais vu autant de fringues, de lingeries, de petites culottes, de soutifs, etc. Elle s’excuse. — Souvent après les séances de photos ou les défilés, on peut prendre ou acheter les objets à petit prix. Au même moment, elle se prend les pieds dans un tapis et renverse un tiroir. — Et ça, tu l’achètes aussi après les défilés ? Toute une collection d’objets sexuels est sur le sol. Des godes de toute les tailles, de toutes les couleurs, des doubles pénis, enfin on se croirait dans un sex-shop. À peine gênée elle me rétorque. — Parfaitement. Oui, d’accord, il m’arrive de tourner des clips ou des photos érotiques. Cela paye très bien. Provocatrice. — Sers-toi. Tu en feras cadeau à ma sœur ! Cela devrait pimenter vos soirées.— Oh, je t’en prie, ne mêle ...
«12...456...9»