Agréable voisine... (4)
Datte: 15/06/2021,
Catégories:
Transexuels
... lèvres, avant de m’introduire en elle. Je commence de lents va et viens, terrassé par deux nouvelles sensations : son plug que je ressens contre ma bite, et celui que j’ai en moi qui travaille ma prostate à chaque mouvement. Avant la jouissance, je m’arrête, la retourne pour la prendre en levrette, retire son plug, puis glisse mon bâton de chair à la place. Quelques allers-retours suffisent à me faire craquer, et se synchronisant avec moi, elle crie son plaisir tandis que je m’écroule sur elle dans un long soupir. Reprenant mes esprits, je regarde mon sperme s’écouler entre les globes fessiers avant qu’elle ne se lève, s’essuie puis aille fouiller dans le carton du colis de la veille. Elle en ressort un harnais, avec un double gode au bout, et le lubrifiant, en me demandant si je suis d’accord. Embaumé par la passion crée par nos ébats, et sans me soucier de ce que réprimerait la morale, j’acquiesce, et face à moi, elle enfile ce harnais, le remonte le long de ses jambes, puis s’introduit le gode de son côté. Elle resserre les sangles, presque inutile vu comme ça à l’air de se tenir, et s’avance vers moi. Je me positionne à 4 pattes, elle retire le plug délicatement, puis fait couler un peu de lubrifiant entre mes fesses et sur le gode. Elle s’avance, me demande si je suis prêt, et à mon oui s’enfonce en douceur en moi. Lubrifié et un peu ouvert grâce au plug, je ne ressens aucune douleur, juste un côté « interdit » ou « moralement incorrect » qui m’excite d’avantage. Puis je ...
... sens ses cuisses au contact des miennes, ce morceau de plastique au fond de moi, et je surprends un petit cri de sa part : en plus d’être au fond de moi, le gode est au fond d’elle : nous allons prendre notre plaisir ensemble, de concert, chacune de ses avancées en moi provoquera une avancée en elle. Marie décide de reculer, ressort de moi tandis que le gode frotte ma prostate et me fait échapper un râle, puis revient au fond de moi de manière plus rapide et nous crions tous les deux. Elle recommence, encore et encore, dans une délicatesse incroyable, et je lui dis que je sens que le volcan va entrer en éruption. Elle se retire, puis me met sur le dos, se saisit du gode qu’elle décroche du harnais et me pilonne le fondement d’une main, tandis que l’autre se saisit de mon pénis pour le mettre dans sa bouche et avaler ma semence qui arrive. On se couche de cette manière, et heureusement qu’on a choisi ce jour, on se réveille à 14h le lendemain. Décembre s’écoula tranquillement, nous avons passé le réveillon de Noël chez ses parents et le lendemain chez les miens, tout se passait à merveille alors que l’on n’avait pas « joué » depuis la partie de strap-on. J’arrive à très bien gérer cette double vie, et évite de prendre des risques avec des connaissances perso ou pro, ou de la famille, pour ne pas affronter un quelconque jugement. Marie n’insiste pas non plus, me laisse libre de mes choix, et nous avons suffisamment d’activités communes (sport, sorties, etc.) pour ne pas tomber ...