1. Agréable voisine... (4)


    Datte: 15/06/2021, Catégories: Transexuels

    ... quand Marie me tendit le plug. J’acceptais, car je ne prévoyais pas de rapport ce soir, c’était mon premier nouvel an en couple. Je déposais une noix de lubrifiant sur le plug, m’accroupis puis je frottais le bout sur mon petit trou. Une fois prêt, je poussais délicatement le plug jusqu’à la garde, et je dû me concentrer pour faire retomber l’érection naissante et ne pas fausser mon camouflage. Je passais le shorty, profitant de la douceur du tissu le long de mes jambes. Ensuite, je mis en place ma fausse poitrine et mis le soutien-gorge en place. J’étais presque inquiète d’y arriver aussi bien que ma chérie, je lui en fis part et nous avons éclaté de rire toutes les deux. Toutes deux en sous vêtement, je la regardais, et je n’avais presque rien à lui envier, si ce n’est le côté naturel. Je mis en place la perruque avant de continuer, et quiconque serait rentré à ce moment aurait vu 2 superbes femmes. M’enlevant cette pensée de la tête, j’enfilais les bas, et de nouveau je dû faire preuve de concentration pour ne pas bander, tellement le contact sur mes jambes nues était affriolant. Je me levais du lit, puis passais la robe, dégageais les cheveux, et Marie ...
    ... était là, face à moi, et me bouffait du regard. Elle m’invita à m’assoir, puis me maquilla légèrement, pour gommer les derniers traits de masculinité qui subsistaient, tandis que je mettais les bijoux, puis elle me mis du vernis à ongles bleu, me coiffa, et je mis une touche de parfum ; je regardais cette femme à ma place dans le miroir : de nouveau, le camouflage était parfait. Toutes belles toutes les deux, il ne me manquait qu’un indispensable : le sac à main. Elle m’en sorti un de taille moyenne, suffisant pour mettre mon téléphone, des mouchoirs, les ballerines, un étui en tissu pour ranger le plug en cas de gêne, et du bric à broc typique de sac à main de nana. Elle finit de se préparer pendant que j’enfilais les escarpins, elle avait également une tenue chic, avec une robe de soirée noire sans manches également, et globalement dans les mêmes formes que la mienne ; ses gambettes étaient couvertes de bas noirs, ainsi qu’une paire d’escarpins noirs et argentés. Légèrement maquillée et parée de bijoux, elle était vraiment désirable. J’attrapais un gilet à elle, puis pris les clefs, et ouvrit la porte pour aller affronter ce passage à la nouvelle année. 
«1234»