Les Amazones - Épisode 3
Datte: 16/06/2021,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
frousses,
neuneu,
entreseins,
facial,
Oral
fist,
fdanus,
fsodo,
historique,
historiqu,
... ridicule quand j’y repense. — Alors, mon père, on vient de tirer son coup ? Ne vous gênez pas, personne ne vous en tiendra rigueur. Vous avez même fait des envieux. On vous a entendu brailler jusqu’à la proue. Certains de mes gars auront les mains calleuses ce soir à force de s’astiquer en repensant à ce qui vient de se passer.— Vous n’avez pas honte ? De telles paroles ne sont pas dignes d’un gentilhomme. Aidez-moi plutôt à la recoucher.— Pas question. On l’enferme et vous sortez. Elle a un seau de son pour ses commodités et un peu d’eau. Cela suffira jusqu’à demain. Cette garce a certainement cherché à endormir votre méfiance en se donnant à vous. Elle vous aura ensuite attaqué parce qu’elle voulait s’enfuir quand vous avez ouvert la porte. Lorsqu’elle se réveillera, elle s’agitera certainement, mais la faim la calmera vite. Ainsi fut fait. Nous l’entendîmes ensuite pendant des heures hurler, cracher, tambouriner en vain contre la porte et les parois de sa cabine. Une véritable furie. Elle finit par renoncer et entra dans un mutisme total. Elle refusa de toucher à la moindre nourriture, restant dans une opposition farouche et silencieuse. Ochoa veillait au grain, mais nos hommes étaient impressionnés et nul ne tenta de poser la main sur elle. Il fallut la sortir de force et la ligoter pour l’extraire de son réduit. Ochoa la chargea, en jurant, sur une épaule et l’amena à terre, non sans avoir administré une bonne claque sur ses fesses musclées alors qu’elle lançait de ...
... furieuses ruades. Cela amena un peu de bonne humeur, mais l’atmosphère était morose. Elena avait fait preuve de dignité en restant impassible à l’annonce de la disparition de son mari, mais beaucoup de compagnes de nos soldats avaient manifesté leur désespoir. Je savais cependant qu’il ne durerait pas longtemps. Il y avait trop d’aspirants remplaçants parmi les hommes ici présents. Il fallait s’occuper des blessés. Ils étaient tellement nombreux qu’il fut décidé de faire étape pour un mois. Nous construisîmes un bastion sur les berges et un brigantin fut chargé de remonter le fleuve pour aller chercher des vivres et des renforts. D’ici son retour, il nous faudrait soigner nos invalides, malades ou blessés. Helena y consacra toute son énergie. Sa sœur Isabella l’aidait de son mieux et je ressentis un peu de jalousie envers les pauvres diables auxquels elle dispensait ses bienfaits. Au bout de deux semaines, je pus enfin la rejoindre une nuit. Elle m’accorda une fellation de grand style, mais refusa que je la déflore lorsque je voulus m’introduire en elle. Elle voulait que cela se fasse avec sa sœur aînée. Étonnante requête. Je fis contre mauvaise fortune bon cœur. Je l’ai mise sur le ventre et je l’ai enculée séance tenante, sans remords ni hésitation. Elle était si serrée, si étroite que je ne pus résister longtemps. Elle n’eut qu’à remuer les hanches pour que je décharge. Dans la pénombre de la tente, je caressais sa peau nue, perlant de transpiration, laissant mes doigts glisser ...