Noms d'oiselle
Datte: 16/06/2021,
Catégories:
fh,
couple,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Masturbation
facial,
Oral
fdanus,
fsodo,
coprolalie,
jeu,
fsoumisah,
Ce texte, sorte d’exercice de (dé-)style étant assez hard dans ses propos, est donc plutôt déconseillé aux âmes prudes et chastes… Les autres aviseront :-) Comme souvent lors de la pause du midi, sandwich en main, je m’assieds devant l’ordinateur, j’ouvre ma messagerie personnelle et je réponds à quelques messages ci et là. Ceci fait, après avoir vidé à moitié ma canette deFantagina que je repose dans un grand soupir de satisfaction, je jette un petit coup d’œil circulaire : oui, personne aux alentours. Aujourd’hui, j’ai décidé que c’est une journée pour jouer avec ma chère femme, ma compagne selon la loi. Je sors de ma poche mon dé fétiche, celui qui est tout noir avec des symboles curieux dessus, un dé déniché complètement par hasard quand j’ai marché dessus dans la rue. Je n’ai jamais su à quoi il pouvait bien servir, de quel jeu il était issu, mais du moment que les six faces sont bien numérotées, c’est le principal. Dé étrange que celui-ci, avec un symbole (un soleil) pour le un, deux autres symboles pour le deux (des yeux), etc. Je me concentre, puis je fais rouler le dé. Après quelques culbutes bien sonores, il s’arrête sur la face six ; enfin, sur la face où il y a un total de six symboles, des éclairs. Six, le maximum… Alors, au vu du résultat, je me jette à l’eau et je commence à rédiger pour Adeline, ma compagne, un mail bien épicé… Et hop, je clique sur le bouton "Envoyer". Rien que de le rédiger, ce mail m’a déjà rendu tout dur ! Je ne sais pas si on fera tout ...
... ce qui est mentionné, car dans le feu de l’action on fait souvent autre chose. Un mail bien balancé, très… vulgaire, mais Adeline aime qu’on la bouscule parfois. Je songe à tout ce que nous… oui, tout ce que nous… Puis, comme fatigué, je bascule en arrière. L’après-midi sera long ou court ? Long, je le crains ! Pour me redonner du courage, je vide ma canette. Hélas, j’ai eu raison : ce fut un après-midi interminable ! Toujours un truc enquiquinant qui suivait un truc peu amusant… Enfin il est l’heure ; je descends au parking, téléphone en main. Un bref coup de fil : — Allô, ma chérie ? Oui, j’ai fini et je viens de me mettre en route… Rien de particulier, non… Oui, je te phone dès que j’arrive à la bretelle, comme d’hab’ ! Hum… hum… oui… à tout de suite, bisous ! Et voilà, la journée est finie. J’espère qu’il n’y aura pas trop de circulation. C’est un mercredi ; en général, c’est plutôt cool, mais on ne sait jamais : il suffit d’un tout petit accrochage pour que tout dégénère en chaos. Ce ne sera pas le cas aujourd’hui : tout roule nickel – tout au moins dans ma direction, ce qui n’est pas trop le cas dans l’autre sens. Il y a bien quelques semi-remorques qui gênent un peu, mais j’arrive vite à la bretelle qui mène à l’entreprise de ma compagne. Ah, ma compagne… Le hasard a bien fait les choses, en ce qui nous concerne. Le hasard, comme ce fameux dé que je trimbale toujours avec moi, et qui dort même sur mon chevet, sous la lampe, le compagnon de mes débauches ! Ce fameux dé ...