Noms d'oiselle
Datte: 16/06/2021,
Catégories:
fh,
couple,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Masturbation
facial,
Oral
fdanus,
fsodo,
coprolalie,
jeu,
fsoumisah,
... rouge dessiné sur sa gauche, mauvais signe, c’est souvent à cause d’un accident, mais où ? Hélas, je n’arrive pas à lire correctement. Fichu panneau : trop loin ! Je tends le cou tout en plissant des yeux pour tenter de lire. — Votre petite pute lit qu’il y a un accident signalé à deux kilomètres sur l’A1, Maître. Surpris, je tressaille. La voiture dévie un peu de sa trajectoire. — Eeeh, Maître, votre traînée aimerait bien vivre encore quelques années ! Je rectifie aussitôt. Je sens que ça va devenir palpitant d’ici très peu de temps… --ooOoo-- La voiture roule à présent dans la verte campagne ; les encombrements de la grande ville sont loin derrière nous. Le CD s’achève sur la dernière chanson. C’est une de nos habitudes : le soir, nous mettons une galette dans le lecteur, histoire de nous vider l’esprit, de ne pas trop songer aux embouteillages. Après cette pause, nous discutons, beaucoup plus relaxés. À peine la dernière note passée, Adeline prend la parole : — Au fait, Maître, votre poufiasse préférée a une suggestion.— Oui, dis toujours, ma poufiasse préférée… Au fait, redis "je" pour l’instant, ça sera plus simple.— Voilà : si je dois m’insulter et être insultée, autant que ce soit par des mots différents à chaque fois. Qu’en pensez-vous ?— Hum… pourquoi pas ? Bonne idée ! Donc un mot que tu utilises, je ne dois plus l’utiliser ensuite ? Et toi de même ?— Oui Maître, c’est bien ça.— On a déjà commencé ou on commence à partir de maintenant ?— J’ai déjà dit : pute, ...
... traînée et poufiasse… ce n’est pas grand-chose, Maître. Bien sûr, n’oubliez pas mon petit mot à chaque ordre que vous me donnerez. Je fronce mes sourcils. — Aïe, ça ne va pas être facile ; mon répertoire est limité. De plus, ma mémoire n’est pas très bonne.— Pour vous motiver, je n’obéirai au doigt et à l’œil que si le mot est nouveau. Peu importe ce qu’il soit.— Au doigt et à l’œil ?— C’est bien ce que j’ai dit : au doigt et à l’œil, Maître. Et en français, s’il vous plaît ! Je laisse passer un peu de temps pour ma réponse. — OK, pas de problème : au doigt et à l’œil. Au fait, en parlant de français, le safe word est "Mimosa" pour aujourd’hui.— Mimosa ? Ah bon…— Pourquoi pas "Mimosa" ? On conteste les ordres de son Maître, ma belle pétasse ?— Non, mon Maître, votre gourde personnelle respecte et exauce vos désirs. Voilà ce qui est nettement mieux ! Nous avons encore quelques kilomètres à faire, et j’ai besoin de parler normalement avant d’y aller franco : — Mimosa, Adeline. Parle-moi de ta journée, mais normalement, sans tout le tralala du Maître et autres noms d’oiseau. Mais dès que nous arrivons à l’entrée de notre village, on repasse en mode "Maître et soumise". OK ?— OK. Et elle me parle de sa journée. Je sais qu’une femme a besoin de s’exprimer sur ce qu’elle a vécu, comme pour faire l’inventaire, comme pour se vider. C’est à l’homme d’écouter, d’abonder la plupart du temps dans son sens, et surtout de ne pas tenter de résoudre ses problèmes. Il m’a fallu des années pour ...