Noms d'oiselle
Datte: 16/06/2021,
Catégories:
fh,
couple,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Masturbation
facial,
Oral
fdanus,
fsodo,
coprolalie,
jeu,
fsoumisah,
... bonne raison. — On se regarde la suite, Maître ? J’ai hâte de savoir quelle connerie ils vont nous pondre cette fois-ci.— Pas de problème, ma branleuse ; je lance ça tout de suite. Et je clique sur le fichier en question. Sans que je ne lui dise quelque chose, bien que ma dernière façon de la traiter était assez explicite, Adeline s’empare de mon sexe tout mou et entreprend de le durcir peu à peu. Et je dois, une fois de plus, constater qu’elle sait très bien s’y prendre ; elle sait très bien alterner les pressions, les caresses, les repos… — Il n’y a pas à dire, ma rouée roulure, tu sais bien y faire !— Je me répète sans doute, mon cher Maître, mais j’ai eu un bon professeur. Et elle continue sans faiblir, avec doigté et application, tandis que les images défilent à l’écran. Une fois l’anim’ terminée, elle décide de finir ce qu’elle avait commencé : elle suce mon téton puis descend doucement vers mon nombril. Je me laisse faire comme un gros chat. Elle pose sa tête sur mon ventre, son nez très près de ma bite dressée, ses doigts caressant tendrement mes couilles. Un bisou à la base de mon sexe, un autre un peu plus haut, elle remonte le long de ma tige… Coquine, elle donne de petits coups de langue assassins sur mon gland qui frémit. Puis elle repose sa tête sur mon ventre, me masturbant faiblement mais fermement à ma base. — Vous voulez quoi de votre biteuse, mon Maître ? Que je vous pompe et que j’avale ? Que je vous branle et que j’en aie plein la figure ? Que je ...
... m’asseye sur vous et que je remue des hanches sans que vous ayez quoi que ce soit à faire ? Autre chose, mon Maître ?— Hum, laisse-moi réfléchir, ma belle garce… Tout ce que tu me proposes est fort tentant… Très tentant. Oui, il n’y a pas à dire, tu es la plus belle des aguicheuses que je connaisse.— Merci, Maître ; votre pouffe est très honorée. Je me cale mieux sur le dos. — Eh bien, sale vicieuse, on peut conjuguer tout ça.— Comment ça, Maître ?— Tu me branles jusqu’à ce que je te jute sur le visage, puis tu enfournes ma bite pour avaler le reste, mon doux sac à foutre.— OK, Maître. Et pour ce qui est de m’asseoir ?— Pas de problème : après la sucette, tu te frottes à ma bite jusqu’à ce qu’elle reprenne de la vigueur. Elle soupire, me branlant toujours délicatement. — Décidément, Maître, vous aimez avoir le beurre et l’argent du beurre…— Oui, ma grognasse, sans parler de la crémière que je nique par tous les trous !— C’est bien ce que je disais. Elle soupire à nouveau, mais elle s’exécute. Elle s’active autour de ma tige, alternant doigts et langue. Elle s’offre même le luxe de chapeauter mon gland de ses douces lèvres humides. Que faire de plus que de se laisser aller ? — Mets ta tête sur mes cuisses, ma belle suceuse : je veux pouvoir te voir quand je t’en foutrai plein le visage. Sans me lâcher, elle change de place. Elle sait très bien s’y prendre pour rendre un homme fou. Je me demande soudain si d’autres en profitent actuellement… Je chasse cette idée ; l’instant est à ma ...