1. Noms d'oiselle


    Datte: 16/06/2021, Catégories: fh, couple, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Masturbation facial, Oral fdanus, fsodo, coprolalie, jeu, fsoumisah,

    ... anatomie. — Poo poo pee-doo ! lance-t-elle en jouant visiblement les Betty Boop qui, la première, fit connaître ces quatre fameuses syllabes. Je souris ; ma femme est décidément faussement ingénue. Elle me le démontre depuis quelques instants avec divers gestes évocateurs, ses frôlements, ses caresses, toutes ces choses qui cachent bien d’autres choses. Puis, me faisant face, lascive, c’est avec une lenteur interminable qu’elle déboutonne son fin chemisier. Ses seins jaillissent, toujours emprisonnés dans un soutien-gorge, entre les pans libérés. Lentement, le chemisier glisse, révélant une épaule, puis l’autre. La chair rose des bras se dévoile tandis que sa poitrine apparaît nettement dans toute sa splendeur. Puis d’un geste brusque, le chemiser vole à travers la pièce. Mains sur les hanches, Adeline se laisse admirer, pivotant lentement sur elle-même pour bien être contemplée. Puis ses doigts fins s’attaquent au gros bouton de sa jupe. Elle fait durer les choses ; je reconnais bien là le caractère joueur de ma femme ! La tirette de la fermeture Éclair s’abaisse tout aussi lentement. Je suis assidu au spectacle. Puis, se trémoussant, sans mettre les mains, Adeline ondule du popotin afin de faire descendre la jupe qui arrive rapidement à ses pieds. Elle est à présent en soutien-gorge, slip et bas autofixants, tout ce petit monde de couleur noire, sa couleur préférée en lingerie, splendide contraste avec sa peau blanche. Lascive, elle ondule de tout son corps, comme elle ...
    ... sait si bien le faire pour m’exciter plus encore. Pour ma part, je reste stoïque. De ma voix la plus neutre, je dis : — La suite…— Bien, Maître. Elle retire lentement son soutien-gorge, révélant un premier sein et son téton à croquer. Elle me le laisse bien voir avant de continuer son petit jeu insolent. Son autre sein s’affiche alors à ma vue tandis qu’elle dégrafe son soutien-gorge tout en balançant son corps sur une musique inaudible. Beau spectacle que de voir le haut de son corps et ses trésors que j’aime tant et que je convoite toujours, même si j’en abuse tous les jours. Peu après, c’est son petit slip qui descend, millimètre par millimètre, révélant lentement son intimité au grand jour. Une belle intimité que je connais si bien et que j’apprécie tant ! Le petit slip choit sur ses pieds ; elle s’en débarrasse d’un bref geste de la jambe. Elle tourne lentement sur elle-même afin que je puisse la contempler de tout mon saoul. Adeline me connaît sans doute un peu trop bien. Ou bien, je suis peut-être un peu trop prévisible, comme beaucoup d’autres hommes ? Elle s’apprête à ôter un de ses bas autofixants ; je l’arrête : — Non, non, ma belle tapineuse. Reste en bas, c’est mieux. Tu es nettement plus bandante comme ça.— Bien, Maître. Alors presque totalement nue, elle s’agenouille devant moi, courbe la tête et dit : — Je suis à vous, Maître. Je suis votre chienne…— Je le sais déjà, ma adorable chiennasse !— Vous trichez, Maître.— Depuis quand une simple esclave ose reprocher ...
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