1. Noms d'oiselle


    Datte: 16/06/2021, Catégories: fh, couple, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Masturbation facial, Oral fdanus, fsodo, coprolalie, jeu, fsoumisah,

    ... surfer sur son ordinateur portable. Assise au bord du lit, l’ordinateur posé sur une desserte à roulettes, elle consulte ses messages, ses blogs et ses forums. Elle adore tout savoir, mettre son nez partout, et ça lui prend un certain temps. Durant ce temps je vaque à mes petites occupations, ma température interne descendant à un niveau moins périlleux. Pour certaines réponses, elle n’aime pas faire de fautes, alors je suis son correcteur attitré… et je peux parfois en retirer un certain profit. Souvent, même ! Bref, un bon arrangement pour elle comme pour moi. Profiteur, moi ? Quelle idée ! — C’est bon, Maître, j’ai fini mes messages.— OK, j’arrive. Quand j’entre dans la chambre, elle se lève du lit pour me laisser la place. Mon Dieu, qu’elle est sexy ! Toujours ondulant sur ses hauts talons, elle embarque un oreiller au passage. Je m’assieds à sa place tandis que, fidèle au mail de ce midi, elle s’agenouille face à moi, l’oreiller sous ses genoux. Sage précaution. Je consulte les différents messages sur le traitement de texte. Pas beaucoup de fautes, sauf quelques accords, mais le français n’est pas une langue facile, je le lui accorde. — Impec ou presque, ma gourgandine : tu fais de réels progrès, bravo !— Votre saligote est indigne de vos félicitations…— Tu es peut-être ma putasse, mais quand c’est bien, il faut le dire.— Bien, Maître. À sa grande surprise, je dépose un bisou sur son front puis je me lève. Elle s’étonne : — Vous ne souhaitez pas que je vous prouve ma ...
    ... reconnaissance ?— Je m’en voudrais que tu attrapes une crampe à la mâchoire, d’autant que la soirée ne fait que commencer. Qui veut aller loin, ménage sa monture.— Dois-je comprendre que je suis votre monture ?— En quelque sorte… oui, c’est indubitable.— Beau jeu de mots ! Je me contente de sourire et je sors de la chambre. Avant de franchir la porte, je lui lance : — Et puis pour la suite, il te faut quelques forces…— La suite ? Je me retourne, l’air sévère : — Ne me dis pas que tu as oublié, petite idiote !— De me tripatouiller devant vous, Maître ?— Exactement. Attends un peu que j’aille m’installer dans le salon afin de profiter au mieux du spectacle que tu vas m’offrir. C’est vrai que tu as tes copiés-collés à envoyer à tes correspondants avant.— Bien, Maître. Quelques instants après, je suis confortablement installé, attendant l’agréable suite à venir. Adeline arrive aussitôt d’une démarche ondulante ; une bonne entrée en matière, si je puis dire. Avec une certaine théâtralité, elle pousse du pied un pouf rouge qu’elle dispose devant moi puis elle s’assied dessus, jambes largement écartées : une splendide pouf sur un pouf ! Et le contraste des couleurs est assez saisissant. M’offrant une vue magnifique sur sa belle fente déjà largement entrouverte, elle joue de ses doigts manucurés. Elle caresse ses douces lèvres luisantes, s’amuse avec un capuchon rosé et taquine un petit clitoris qu’on pressent très sensible… — Continue ainsi, gourgandine !— Hummm… Oui, Maître… dit-elle ...
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