1. Noms d'oiselle


    Datte: 16/06/2021, Catégories: fh, couple, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Masturbation facial, Oral fdanus, fsodo, coprolalie, jeu, fsoumisah,

    ... hoche la tête et, après m’être un peu incliné, d’un geste décontracté je balance au sol un carton de pizza, juste à ses genoux. — Ta pizza, connasse !— Merci, Maître. Votre suceuse de bite vous remercie.— Tiens, c’est pas une mauvaise idée, ça… Et j’abaisseillico ma braguette, extirpant mon service trois pièces. Ma suceuse s’en saisit et commence une sucette particulièrement voluptueuse. Je me laisserais bien aller mais j’ai un programme à tenir, et c’est avec regret que je me dois de me retirer de sa bouche. Son air gourmand indique bien qu’elle a compris le pourquoi de ce retrait assez rapide, et elle est visiblement fière d’elle. Avec un petit soupir, je remballe mon service trois pièces puis, de mon ton le plus sévère, je déclame, péremptoire : — Maintenant, gobeuse de bites, bouffe ta pizza par terre dans son carton, comme la chiennasse que tu es, sans les mains, le cul à l’air avec ton gros rosebud dans le fion ! Au fait, tu l’as bien mis ? Je n’ai même pas vérifié. Restant toujours par terre, elle se retourne, popotin bien en buse : — Comme vous le voyez, Maître, votre grosse dévergondée n’a rien oublié.— Félicitations, belle enculée : j’aime quand ton cul est décoré ainsi. Elle tortille indécemment du croupion. — Merci, Maître ; je sais que vous aimez ça.— Bon, maintenant, bouffe ta pizza tout en me montrant bien ton cul de pu… euh… de garage à bites.— Oui, oui, oui : votre merdeuse adore les bites à cet endroit ! Cette femme me fera perdre mes moyens ! C’est avec ...
    ... difficulté que je ne la viole pas là tout de suite. Une grande respiration et je m’assieds au bord du fauteuil, ma pizza face à moi, tandis que déjà Adeline plonge son nez dans son carton et commence la dégustation de la sienne. Face à moi, deux cercles : celui de la pizza et celui du gros rosebud. Et je vous prie de croire qu’il n’est pas du tout évident de rester totalement zen dans pareille circonstance ! Surtout devant un magnifique cul splendidement encadré par un porte-jarretelles et ses lanières, sans parler de ses bas à motifs qui lui magnifient les jambes. Néanmoins, en fermant beaucoup les yeux, je parviens à finir ma pizza. Durant ce temps, ma compagne, sans les mains, parvient elle-aussi à tout faire disparaître dans son carton. Puis, s’asseyant sur ses talons, elle se tourne vers moi. Je ne peux m’empêcher de sourire : elle a le nez tout rouge et maculé d’aliments. Ses joues et son menton ne sont guère mieux. — Fini, Maître ; votre grosse cochonne a fini.— Je vois ça, ma salopiotte. Va te donner un petit coup sur le museau ; mais vas-y à quatre pattes !— Oui, Maître. Et je la vois partir doucement vers la salle de bain tout en tortillant son mignon petit cul bien orienté vers moi, un gros point écarlate et brillant me narguant. J’en profite pour me servir un verre, j’en ai besoin ! Dans mon pantalon, mon sexe n’en peut plus : il est temps qu’il reprenne l’air. Ce que je fais tout de suite. Quand elle revient, Adeline, toujours à quatre pattes, seins ondoyants bien ...
«12...8910...14»