1. Baignade interdite


    Datte: 16/06/2021, Catégories: fh, bain, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme humour,

    ... grand-mère ! Et c’est ainsi que les deux jeunes gens prennent leurs habitudes quotidiennes. Clothilde découvre rapidement que, si le plumage de ce bel oiseau laisse parfois un peu à désirer, le contenu de sa sympathique et avenante caboche n’est pas en rapport avec sa mise un peu négligée. Et elle révise ainsi les affirmations sentencieuses de sa grand-mère. Pour dame Marthe, en effet, non content d’être mal fagoté, le filleul de la comtesse est un nigaud de la plus belle eau. Or, à la surprise ravie de Clothilde, il n’en est rien. Non seulement elle peut, avec lui, disserter de musique presque aussi bien qu’avec sœur Elizabeth, mais elle peut aussi aborder tous les sujets les plus divers. Si, bientôt donc, les deux jeunes baigneurs se découvrent une belle harmonie spirituelle et intellectuelle, leur communion de pensée ne s’arrête pas au cerveau, mais descend nettement plus bas que les sourcils !… Quelques premiers baisers, un peu furtifs, évoluent rapidement vers des choses nettement plus sérieuses. Des caresses manuelles on en vient rapidement aux caresses buccales. Et, enfin ! le délicat petit orifice intime de Clothilde s’ouvre généreusement pour accueillir le bel objet qu’elle avait tant admiré lors de leur première séance de bronzette… Et comme les joies de la maternité sont un peu prématurées pour être à l’ordre du jour, il leur faut bien envisager une protection contraceptive. Jean-Marc, auquel son âge et son expérience donne une meilleure connaissance de ces ...
    ... accessoires, surtout face à une jeune fille dont la seule éducation sexuelle est le fruit de conversations furtives dans un recoin de la cour d’un digne établissement religieux, se fend d’une fastidieuse explication technique. Celle-ci amène une petite grimace de dégoût sur les lèvres sensuelles de Clothilde : — Je ne pense pas que j’aimerais voir ton bel engin enveloppé dans un sac en plastique… J’aurais un peu l’impression de manipuler un steak pré-emballé dans un supermarché !! Heureusement, il reste une solution de rechange ! Et c’est ainsi que, par une belle après-midi ensoleillée, sous le regard, surpris mais dénué de tout jugement moral, d’un écureuil perché sur un arbre voisin, Clothilde découvre les joies de l’une des formes de plaisir intime les plus vivement condamnées par notre sainte mère l’Eglise. Pourtant, ce n’est pas par une réflexion de honte et de repentir que cette excellente élève de dignes et respectables religieuses commente l’expérience : — Tu sais, mon amour, je crois que c’est encore meilleur de ce côté-là !… Si Clothilde est maintenant totalement comblée dans sa vie intime, elle l’est aussi dans sa vie artistique. Même sœur Elizabeth, critique sévère s’il en est, se doit de reconnaître que les progrès de sa jeune élève sont surprenants, surtout en ce qui concerne l’œuvre finale du concours, celle écrite par le mystérieux Jules Charlin que nous avons brièvement évoqué au début de cette chronique. Or, ce talentueux compositeur, qui n’est jusqu’ici pour ...
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