MOUILLÉE
Datte: 16/06/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Lesbienne
... mon clitoris sous mon doigt. Autour de nous, le murmure reprend.Dans la voiture, je m’assieds en relevant ma jupe, comme il me l’a demandé, de manière que ma chatte repose sur le cuir du siège. Il y a une auréole à force. Il dit qu’il s’en fout. Il s’allume une cigarette, souffle la fumée, puis démarre. Il ne parle pas. Je sais ce que je dois faire et où nous allons. Je voudrais être calme comme lui.Nous sortons de la ville. La route devient noire, on dirait que c’est la voiture qui l’ouvre, la déchire comme un voile. Je sens les vibrations du moteur dans mon sexe. Je fais corps avec la machine. J’ai envie de me toucher, de me faire jouir à hurler. Tout ce que je peux faire, c’est rester à contempler la route qui s’ouvre devant nous comme une braguette. Je me colle au siège pour que les vibrations soient plus intenses, que je baigne dans mon jus.Il me dit de le caresser. Je pose ma main sur son pantalon. Je le sens durcir, palpiter comme un serpent dans un sac. Je le caresse, le frotte, le presse, le malaxe, puis je le libère. Je me penche sur lui. Je le lèche comme il m’a appris. Je gobe ses testicules, les fais tourner dans ma bouche, puis je remonte le long de sa queue. Je lèche chaque côté, puis m’attarde sur le bout, donnant de petits coups de langue où c’est le plus sensible. Quand je sens qu’il n’y tient plus, je l’engloutis au fond de ma gorge, fais tourner ma langue autour. Il respire plus fort.Je commence un va-et-vient que j’interromps de temps en temps pour le ...
... faire languir. Je le mordille, le titille. C’est le seul moment où j’ai l’impression de l’avoir à ma merci, de le dominer, mais je sais que c’est faux. Je ne suis là que pour subir. Si je le suce avec tant d’application, c’est pour mériter de me faire fourrer comme une pute, à quatre pattes sur le capot.Il jouit sans que cela gêne sa conduite, pas le moindre écart. J’avale tout, trois longues giclées chaudes. J’ai pris l’habitude de les compter. Je le nettoie avec ma langue et le reboutonne.Nous arrivons enfin. Il y a quelques voitures, mais pas trop. Il se gare, condamne les portières. Un groupe d’hommes s’approche. Il allume le plafonnier. Les hommes – au nombre de cinq – sont autour de la voiture. Certains ont déjà ouvert leur pantalon.J’écarte les cuisses, relève ma jupe pour leur montrer ma chatte qui n’en finit pas de baver. Je dégrafe mon chemisier. Je porte un soutien-gorge sans bonnets qui laisse voir mes seins. Il me dit de me toucher. Je commence par me masser les seins, me pince les bouts, les tire dans tous les sens. Dehors, les types se branlent en me dévorant des yeux. Je me frotte la moule, j’agace mon clitoris, je sens le jus couler entre mes doigts.— Sors le gode !Je le prends dans la boîte à gants, le passe sur ma raie, le lèche, l’enfonce, le sors, le frotte sur mon anus, le lèche, l’enfonce encore. Je râle comme une bête, je sens que je vais jouir. Je le promène sur mon trou du cul qui se dilate à son contact. Je force l’entrée, pousse pour l’avaler tout ...