1. L'université : de la soumission à la consécration (9)


    Datte: 17/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... viens plutôt me sucer, t’en meurs d’envie ! Le courroux qu’affiche son visage ne peut dissimuler l’envie. Presque imperceptiblement, son regard se porte sur ma verge. Elle aussi semble la trouver changée, puisque ses yeux s’écarquillent sous le coup de la surprise. Elle se mordille la lèvre inférieure, manifestation inconsciente mais évidente de désir. Mais elle se reprend vite : — T’es dingue ! crie-t-elle. Pour qui tu te prends ? Et je suis ta sœur ! Cette remarque est si déplacée, au vu de tout ce qui s’est déjà produit, qu’elle me fait sourire. Je m’approche d’elle, puis je lui attrape un de ses énormes seins à travers sa chemisette d’écolière. — Ça ne t’a pas beaucoup dérangé jusqu’ici ! Elle tente d’échapper à mon étreinte, mais trop mollement pour que ce soit crédible. Je sais très bien ce qu’elle veut depuis cette terrible fois où Jules nous a interrompus, même si elle ne voudra pas le reconnaître avant d’être dépassée par le désir. Et cette fois, il n’y aura pas d’interruption impromptue. Elle se recule néanmoins à mesure que j’avance vers elle, sa lourde mamelle toujours au creux de ma main. Mais elle bute bientôt contre le mur. Elle est coincée. Je me place juste devant elle, nu, mon visage à quelques centimètres du sien. — Je ne te baiserais que quand tu me supplieras de le faire. — Tu vas attendre longtemps alors ! ose-t-elle encore répondre. Je ne tiens aucun compte de sa remarque, qui ne peut tromper personne, et je commence à déboutonner sa chemisette. Elle ...
    ... proteste toujours aussi mollement en essayant de retenir mes mains, mais abandonne dès que je repousse les siennes. Lorsque le vêtement tombe au sol, je redécouvre cette magnifique poitrine que j’aime tant. — Tu sais que tes nichons m’ont toujours fait fantasmer ? Elle ne répond rien, mais à vrai dire je n’attendais pas vraiment de réponse. Je les prends alors en main, puis j’approche mon visage pour les prendre en bouche. Ses seins ont un charme bien différent de ceux de Charlotte. Ceux de ma petite sœur sont « mignons », bien qu’assez opulents eux-aussi. Seulement, ses tétons et ses auréoles sont plus fins, plus petits, plus clairs. La masse même du sein est plus blanche, presque laiteuse. Plus ferme aussi. Sa poitrine est finalement à l’image d’elle : elle respire l’innocence et la candeur. Ceux d’Anna sont tout autres : ses tétons sont gros et durs, ses auréoles plus larges et plus sombres, bien qu’assez claires en soi. Le sein est ferme, mais étant plus gros et plus lourd, il en est aussi plus… moelleux. Bref, une poitrine qui lui ressemble également : une bonne paire de mamelles pour une bonne grosse cochonne. D’ailleurs, je presse lesdites mamelles entre mes mains tout en mordillant ses tétons. Ma sœur a de plus en plus de mal à cacher son plaisir. Elle commence à se dandiner, mais certainement pas pour s’échapper ! Profitant de l’occasion, je glisse ma main gauche dans sa culotte. Lorsque mes doigts atteignent son clitoris, un frisson de plaisir la secoue des pieds à la ...
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