1. L'université : de la soumission à la consécration (9)


    Datte: 17/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... tête. Elle ne dit plus rien, ne fait plus rien pour m’arrêter. J’ai eu l’abandon, j’aurais bientôt la supplication… Je descends ma main un peu plus bas pour constater que son vagin est trempé. Elle ne peut plus mentir, son corps parle pour elle ! Je lubrifie un peu mon doigt avec ses propres sécrétions, puis je retourne m’occuper de son clitoris. Je le frotte un peu de l’index, je le pince doucement entre mes doigts… elle soupire maintenant clairement de plaisir. — Ok, cède-t-elle dans un nouveau soupir, tu peux me baiser. Je fais comme si je n’avais rien entendu, car il est évident que c’est encore très loin de ce que je veux. — Tu m’as entendu ? insiste-t-elle, je te laisse me baiser ! — Tu me laisses ? rétorqué-je. Puis j’éclate de rire. — Pour qui tu te prends, ma pauvre sœur ?! Si tu veux que je te baise, il va falloir me supplier ! — Te supplier ? La colère revient empourprer le visage d’Anna. — Te supplier, moi ? Mais c’est toi qui rêve de me baiser ! — Parce que toi tu souffres le martyr, c’est évident… Ce disant, je reprends son téton entre mes lèvres et j’accentue mes caresses sur son clitoris. Elle ondule de plus belle, je la sens ravagée par le désir. — D’accord ! cède-t-elle soudain. Baise-moi… s’il te plaît ! Je me tourne alors vers Léna, un sourire aux lèvres. — Ça te semble suffisant ? Elle sourit à son tour. — C’est pathétique, lâche-t-elle durement. — C’est aussi ce que je pense. Léna s’approche alors de nous, lascivement, puis elle s’empare de ma queue, ...
    ... qu’elle commence à masturber tout doucement, sans omettre de caresser mes couilles de l’autre main. Elle se colle ensuite à moi, écrasant sa poitrine contre mon épaule, puis elle m’embrasse tendrement dans le cou. — Elle est encore loin du niveau de soumission que requière votre grandeur, Maître, susurre-t-elle à mon oreille, suffisamment fort toutefois pour qu’Anne l’entende. Celle-ci regarde alors son amie d’un air dégoutté, comme si elle la voyait pour la première fois. — Tu as raison, dis-je à Léna. C’est toi que je vais baiser aujourd’hui, tu l’as bien mérité. Je stoppe alors mes caresses sur Anna, que je délaisse pour m’occuper de ma marraine. Je l’observe pourtant du coin de l’œil, et il n’est guère difficile de deviner qu’elle est anéantie par cet abandon. Elle pensait avoir un tel ascendant sur moi qu’elle n’aurait jamais à s’abaisser à ce genre de choses. Mais désormais, c’est moi qui ai le choix. Grâce à ma fantastique Léna. A peine ai-je eu le temps de quitter la poitrine d’Anna pour celle de ma marraine, qu’elle cède déjà. — Je t’en supplie, Justin, baise-moi. Elle l’a lâché d’une voix faible, presque inaudible. — Qu’est-ce que t’as dit ? J’ai bien sûr tout à fait compris, mais je prends plaisir à la torturer. — S’il te plaît, ne m’oblige pas à le répéter… — Tu le répéteras autant de fois qu’il me plaira. Alors ? Elle s’approche de moi, jusqu’à ce que quelques centimètres à peine ne nous séparent. Elle attrape mon sexe, le fait coulisser doucement entre ses doigts. ...
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