Québec brûle-t-il ?
Datte: 17/06/2021,
Catégories:
fh,
ff,
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couple,
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extraoffre,
cocus,
Collègues / Travail
ascenseur,
Oral
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
québec,
... les draps et aperçut une bouteille de lubrifiant. Oserait-elle ? Elle vint finalement, très délicatement, s’asseoir sur lui ; et comme il l’espérait, elle présenta son organe à l’entrée de son anus. Il s’aperçut rapidement qu’elle l’avait préalablement préparée. Elle se sodomisa littéralement sur lui, faisant tout le travail et contrôlant ses mouvements pour ne pas réveiller leurs comparses. Il dut se contrôler pour ne pas crier lorsqu’il sentit ses premières giclées de sperme quitter son corps, déclenchant l’orgasme de son amante. Cette dernière dut mordre sa main pour éviter d’exprimer vocalement son bonheur. Quelques instants plus tard, ils dormaient de nouveau, lui vautré contre Karen, et Anastasia enlacée avec Sara. Complètement perdu dans ses pensées, il ne vit pas tout de suite la voiture avancer tranquillement sur l’étroite rue dans sa direction. Quelques enjambées plus loin, il la vit toutefois dans le reflet des vitres d’un café. Il trouva étrange qu’à cette heure plus que matinale une grosse berline de la sorte le suive à quelques dizaines de mètres derrière lui. D’une couleur pâle, il se dit qu’elle ne pouvait pas transporter des agents de ses services. Ses sens en alerte, il se sentit replonger dans les pires moments de son service militaire, lorsqu’un pistolet en main, il devait faire feu dès qu’il percevait une menace dans un stand de tir rempli de cibles de méchants, mais également d’enfants et de femmes. La voix de son instructeur lui revint en mémoire : « ...
... Ne faites confiance à personne d’autre que vous-même. Si vous vous croyez en danger, c’est que vous l’êtes. » Sans trop savoir pourquoi, il tourna à droite sur la rue Sainte-Ursule. Les rues étaient désertes, et lui qui appréciait pourtant tant la solitude habituelle de ces lieux de si bonne heure, il se surprit à souhaiter qu’un groupe de Japonais en voyage sortent d’un café. Mais il était trop tôt pour cela. Tout en déambulant vers le sud, il entendit la voiture stopper et des portières s’ouvrir. Il sortit sonZippo de sa poche de manteau, et se servant de sa face parfaitement lustrée, il l’utilisa comme miroir. Deux hommes s’élançaient maintenant dans sa direction. Un homme de ménage sortit d’un café, les mains chargées de sacs qu’il déposa sur le bord du trottoir. Thomas s’approcha de lui et entama la conversation, se positionnant face au sud pour voir l’arrivée de ceux qu’il identifiait comme étant des opposants. — Bonjour ; savez-vous l’heure qu’il est ?— Oui, bien sûr… Attendez, vous êtes… Les yeux de l’homme s’agrandirent alors qu’il reconnaissait son interlocuteur, mais celui-ci n’avait d’yeux que pour l’homme vêtu d’un long manteau qui s’approchait de lui, maintenant à quelques mètres. C’est lorsqu’il vit celui-ci sortir un pistolet muni d’un silencieux de sous son manteau que les événements s’enchaînèrent. Il repoussa l’homme de ménage à l’intérieur de la porte et s’élança vers son assaillant. Celui-ci, surpris, ne vit pas le coup venir. Thomas abaissa son arme d’un ...