LE DERAPAGE – Tranches de vie -03
Datte: 17/06/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... rigide, tout du moins depuis quelques mois. Puis, alors qu'elle n'avait jamais été une adepte de la fellation, elle a pris mon vit entre ses lèvres. Elle a manqué d'abord vomir, avec un hoquet de surprise à l'introduction de ma verge turgescente. Pourtant, elle m’a sucé comme elle ne l’avait jamais fait, avec une adresse étonnante, titillant mon méat avec la pointe de sa langue, raclant la membrane de ses dents serrées et pompant mon gland avec ardeur. Je me suis retenu le plus possible, car je ne voulais pas éjaculer trop vite, pour faire durer le plaisir, mais mon sperme a remonté le canal de l'urètre au galop et perlé au bout du gland, jusqu'au moment où, ne pouvant plus me retenir, j’ai laissé gicler ma semence. Elle a manqué recevoir mon foutre dans la bouche, mais au dernier moment, elle a retiré mon membre violemment de ses lèvres, le sperme s’éjectant au coin de sa bouche et de sa joue, alors que le jus s’est écoulé le long de son cou et a dégouliné jusqu’entre ses seins. Je l’ai vu complètement dépoitraillée, ses seins généreux sortant de son corsage alors que sa jupe courte retroussée jusqu'au nombril composait un tableau des plus excitants. Je l'ai embrassée en mélangeant ma salive au foutre qui coulait encore du bord de ses lèvres, Elle s’est mise à pleurer de nouveau, disant que ...
... j’allais la prendre désormais pour une traînée, que je n’allais plus avoir aucun respect pour elle, enfin tout ce qu'une femme peut dire dans les circonstances où elle se sentait en faute. Nous sommes rentrés chez nous, certainement plus amoureux que jamais et nous avons fait l’amour une bonne partie de la nuit jusqu’à ce que nous nous endormions, complètement épuisés. Nous étions loin à cette époque du partage avec un autre homme, mais je crois que cela n’a rien à voir ; les amours multiples ne sont en fait que le prolongement de l’amour du couple dont l’un offre à l’autre, et vice-versa, la possibilité de s’épanouir charnellement sans pour cela que l’amour intervienne ; c’est le plus souvent l’occasion d’un véritable voyeurisme : observer l’autre dans son abandon et sa jouissance, ce qu’il est impossible de constater si l’on est partie prenante. Claire lisait beaucoup à cette période où la télévision n’était pas encore omniprésente, aussi j’en ai profité pour lui mettre entre les mains des romans érotiques et ensuite d'autres, pornographiques et bien entendu Histoire d'O. Elle a été très troublée et s’est masturbée souvent en lisant ces livres, même devant moi. Cela m’a permis de commencer nos jeux amoureux et d’envisager le sadomasochisme qui l'excitait fortement lorsque nous en parlions.