Le secret de charlotte (2)
Datte: 18/06/2021,
Catégories:
Hétéro
... tout contre moi, je ne résiste pas à l’envie de lui embrasser le cou et de la caresser. Mes mains touchent ses seins pour la première fois. Je lui pince ses magnifiques petits tétons. Je descends plus bas et enfonce deux doigts dans sa chatte. Putain, mais elle mouille vraiment comme une dingue, c’est une véritable fuite d’eau là-dessous, faut appeler un plombier. Son propre jus coule le long de ses cuisses. Elle a des lèvres gonflées comme je n’en avais jamais vu. Je ne pensais pas qu’un vagin pouvait autant dégouliner d’être pris par le cul. Je le lui fouille pendant que je stimule son bouton d’or avec mon pouce. Elle jouit à nouveau en criant comme une folle. Je n’en crois pas mes yeux. Je pensais que ces histoires de filles pouvant enchainer les orgasmes presque simultanément étaient une légende. Je veux en voir plus, beaucoup plus. Je lui donne mes doigts à sucer pour la faire taire. Elle me goute avidement. — Allez, bois ton jus et ferme-là, sale chienne. Je la serre tout contre moi en lui donnant de puissant coup de reins. Je veux qu’elle sente combien je la veux. Elle, et elle seule. Je veux qu’elle sache combien elle m’excite. — Hmm, Charlotte, je t’aime ma petite salope. — Ooh, maitre, faites de moi votre pute. Je la jette violemment contre le lit et lui donne une fessée. Je la prends par les hanches et me remet à la limer comme une brute. Elle a le torse écrasé contre le matelas. — Ooh, ma petite pute, comme c’est bon de te défoncer le cul. — Oooh oui , maitre. ...
... Pitié, défoncez-le, je vous en prie. Il est à vous ! Encore ! Elle me rend vraiment dingue ! Je sors de son conduit et la retourne. Je veux la voir de face. Instinctivement, elle relève les jambes sur ses épaules et cale ses bras en dessous de ses genoux pour me présenter ses orifices comme une esclave docile. Elle n’a vraiment aucune pudeur ni limite. Je suis fier que ce soit moi qui l’ai mise dans cet état, et que c’est pour moi qu’elle soit aussi soumise. Elle qui ne voulait pas de moi car j’étais "trop gentil". Putain, rien que d’y penser, je vais lui montrer, moi ! Sa chatte baveuse et anormalement gonflée me supplie de la prendre, mais c’est son cul que je veux ce soir. Je m’y insère à nouveau et la bourre comme un animal. Je veux que demain, tous nos amis comprennent ce qu’elle a fait ce soir en la voyant boiter. Et lorsque je l’embrasserais devant tout le monde, qu’ils comprennent que c’est moi qui l’ai enculée comme une chienne. — Oh maiiiiitre ! Oui ! Oui ! Encore ! Encore ! crie-t-elle. Baisez-moi ! Baisez-moi ! Pitié ! Ne vous arrêtez pas, je vous en suppliiiiiiiiiiiiiie ! Mais c’est pas vrai, elle jouit encore. Cette fille est une machine à jouir. — Oh ça oui, je vais te baiser, salope. Je suis loin d’en avoir fini avec toi. Je vais tellement t’user que tu ne saurais plus où tu es. — Oh oui ! Oui ! — Quand j’en aurais terminé, tu ne seras plus qu’une vieille loque incapable de bouger toute maculée de sperme ! — Oh oui ! Je suis votre décharge à foutre, maitre ! ...