Le secret de charlotte (2)
Datte: 18/06/2021,
Catégories:
Hétéro
... Bordel, mais ce n’est pas possible de demander de se faire sauter à un tel niveau. C’est comme si elle avait un grain. Je commence à comprendre ce qu’elle voulait dire quand elle racontait qu’elle avait fait peur à certain de ses ex. Elle est complètement malade ; mais je l’aime comme ça, ma Charlotte. Je comprends qu’elle ait du mal à trouver des hommes pour la satisfaire. Tout le monde n’est pas capable de se lâcher comme ça sexuellement. Moi-même, je ne pensais pas pouvoir, mais elle me rend tellement dingue, c’est la première fois que je ressens ça pour quelqu’un. — Tu es mon trou à bite, maintenant. Tu m’appartiens ! Compris ?! — Oui — Oui qui ! fais-je en la giflant. — Oui maitre. — Tu es à moi, rien qu’à moi. Personne d’autre n’aura le droit de te toucher sans mon autorisation. Tu es ma chose, mon jouet, ma poupée gonflable, mon vide couille perso. — Oui maitre. Où vous voulez, quand vous voulez, par n’importe quel trou. Utilisez-moi ! Sa pose est vraiment trop bande. Les jambes retenues à l’air comme ça, pour s’offrir comme un objet. Je l’attrape par les cuisses et les presses contre son torse pour que son cul se relève encore un peu. Je l’encule jusqu’au raz des couilles. On entend le claquement à chacun de mes allers-retours. Je la fourre brutalement sans me soucier d’elle. De toute façon, je sais qu’elle n’arrête pas de jouir, alors je n’ai pas à m’en faire. Je suis son maitre qui prend ce qu’il veut. dpbbmv Au bout d’un moment, je lui écarte les jambes. Elle ...
... lâche sa propre prise. Je me penche vers elle pour l’embrasser. Elle me rend un chaud baiser avec la langue ; passionné, affamé. Ma bouche a faim de ses seins. Ils sont peut être minuscule, mais ils m’excitent. Je lui suce les tétons puis les lui mordille. Je les tire avec mes dents. Elle gémit bruyamment. Quand je commence à m’en lasser, je m’allonge sur le lit et lui ordonne : — Viens, viens me chevaucher de dos. Empale-toi sur ma queue. — Par quel trou ? — À ton avis, pauvre conne ?! Elle se met en place dos à moi et descend lentement en me faisant entrer dans son cul. — Allez, remue, sale pute, fais-je lui donnant une fessée. Montre-moi combien tu veux ma bite. — Je la veux, maitre. — Alors montre-moi ! Elle bondit sur ma bite comme une chienne en manque. Je grogne de bonheur. Elle est en transe, elle me veut dans son cul. Je ne pensais pas qu’une femme puisse autant aimer avoir un gros chibre dans l’anus. Elle a peut-être vraiment un grain, mais mon dieu, bordel, surtout, qu’elle ne se soigne pas ! Je passe une main sur sa chatte et lui caresse les lèvres gonflées. Je la laisse languir un instant avant de m’attaquer à son clitoris. — Oh oui ! Oui ! Oui ! Oui ! crie-t-elle. — Tu aimes, salope ? — Ouiiiiiiii ! Plus je continue, plus ses mouvements deviennent erratiques, désordonnés. Sa cadence ralentit. — Hey, ne t’arrête, c’est clair ?! Je ne t’ai pas dit d’y aller moins vite ! — Aaaaaaaah ! — Qu’est ce qui t’arrive ? Tu vas jouir, encore ? — Ouiiiiiiiii ! — Tu es sûre que tu ...