Claire
Datte: 18/06/2021,
Catégories:
fh,
hotel,
Oral
fsodo,
... de ce roman l’avait trompée. Je décidai de la bousculer et lui demandai de donner son avis sur cette femme qui trompait son mari, qui laissait même son jeune enfant à sa grand-mère pour assouvir sa passion dévorante. Alors même qu’elle n’envisageait pas un seul instant de quitter son mari. Je la sentais gênée et prête à me quitter car mes questions, visiblement, l’embarrassaient. Je dus la rassurer et parlai de tout et de rien, éloignant la conversation vers des sujets plus anodins. Au fil de la soirée, charmante au demeurant (j’avais affaire à une femme sensible et intelligente), je sentis qu’elle se mettait en confiance et elle me parla longuement de sa vie, de son mari, de ses enfants. Loin de la brusquer, je pris le parti, au contraire, de la laisser parler, de la rassurer et lui proposai de nous revoir à l’occasion d’un prochain déplacement à Paris. Quelques semaines plus tard, entrecoupées par quelques coups de fil où nous parlions de tout et de rien, simplement le plaisir de nous entendre, nous primes rendez-vous pour une nouvelle soirée. Je m’empressai de réserver deux places pour l’opéra Bastille où se tenait un spectacle particulièrement prometteur. Attablé à l’extérieur, place de la Bastille, je la vis arriver d’un pas alerte. En me voyant, elle sourit et je ne pus m’empêcher de l’admirer : elle était particulièrement désirable. Je lui fis quelques compliments, commandai deux boissons et lui révélai que j’avais réservé deux places pour la représentation duParsifal ...
... de Wagner. Devant son hésitation, je crus avoir, une nouvelle fois, été trop rapide et directif… Elle m’avoua que c’était une surprise, charmante, et qu’elle en appréciait d’autant plus l’inspiration. Il va de soi que je ne profitai pas trop du spectacle si ce n’est celui de la regarder avec passion. Mon attitude semblait la gêner et à son interrogation muette, je commentais avec ferveur et passion ce que mon regard apercevait. Je profitais de sa confusion pour lui voler un baiser. J’insistai une nouvelle fois en la serrant dans mes bras. Elle ne me repoussa pas et je compris, à cet instant, qu’elle était prête à sauter le pas. Timide, réservée mais consentante, elle acceptait mes caresses et allait même au-devant d’elles. À la sortie du spectacle, enlacés, je lui proposai de rejoindre mon hôtel. Elle ne dit mot mais me suivit sans résistance. Arrivés dans ma chambre, après des baisers fougueux, je m’assis sur le lit et l’invitai à se déshabiller, lentement, très lentement. Comprenant que c’était sa première expérience de l’exercice, je me levai, m’approchai d’elle et lui susurrai dans l’oreille un scénario érotique. Avant qu’elle ne puisse répondre je lui bandai les yeux et l’invitai une nouvelle fois à se déshabiller. Quand elle ne fut plus qu’en soutien-gorge et en string, je lui demandai d’arrêter et m’approchai d’elle. Lui laissant toujours le bandeau sur les yeux, tout en la caressant, je lui dis devoir avec son corps, de sentir chacun de mes doigts parcourant sa peau, ...