1. Les Parques 3/8


    Datte: 18/06/2021, Catégories: fh, Oral pénétratio, policier,

    ... puissante pour se l’enfourner dans la bouche, la lécher, la pomper, mais il ne lui en avait pas laissé la possibilité, s’agenouillant près d’elle pour lui engloutir un téton pendant qu’il caressait, triturait, martyrisait l’autre entre deux doigts. Et là, sa bouche, après avoir parcouru son ventre, fouillé sa touffe, sa bouche descend dans la fente inondée, sa langue s’active dans les replis de ses chairs échauffées, débusque le clitoris. Amélie voudrait lui dire de ralentir mais son corps impatient lui dicte le contraire.« On aura bien le temps, tout à l’heure, dans le deuxième round. » Elle attrape donc la tête de son flamboyant butineur et la presse plus fort encore entre ses cuisses écartelées. Diabolique, la langue titille à toute vitesse le bouton de rose ; des vagues de plaisir montent et éclatent en milliers de petits éclairs aveuglants alors que son sexe affamé déverse des flots de mouille brûlante. — Viens, je t’en prie, viens ! Docile, le cavalier obéit et, ni une ni deux, plante son pieu turgescent dans l’antre brûlant, poussant l’estocade brutalement, fougueusement, délicieusement. L’homme chevauche son amazone, fouraille et défouraille gaillardement, s’encastre dans les chairs ardentes, défonce la boutique. Le piston va-et-vient à rythme forcené dans la culasse surchauffée. Le manomètre grimpe, Amélie passe le seuil critique des 100.000 volts ; aucun circuit de refroidissement ne pourra désormais éviter l’inévitable. Et brusquement, ...
    ... brutalement, c’est Tchernobyl ! L’explosion atomise ses derniers garde-fous, embrase ses sens, propulse Amélie dans une troposphère azurée où, sylphide éthérée, elle chevauche les nuages les plus doux, les astres brillants, les étoiles de sucre et de miel. Amélie est partie, vole, court, rebondit comme une balle de mousse contre les émotions fulgurantes. Son plaisir est juste infini, incommensurable, son bonheur indescriptible. Amélie sombre avec délice dans l’aveuglante lumière noire de l’orgasme, heureuse d’avoir vaincu ses terreurs, ses peurs, ses affres. Heureuse ! Pleinement heureuse ! Tellement heureuse qu’elle ne sent pas vraiment les mains qui se serrent, enserrent et serrent son cou. Elle n’entend plus déjà Sergio qui susurre : — Tu voulais la petite mort, Amélie. Mais pourquoi petite ? Moi, je ne fais pas dans le détail ! L’homme continue à serrer, observe avec contentement le sang abandonner les joues de sa victime, le visage pâlir avant de bleuir finalement. Un rictus grotesque a remplacé l’air d’absolue félicité, la bouche est tordue, la langue bleue. Abandonnant le corps inerte, l’homme se relève doucement, contemple son œuvre avec mépris et satisfaction. Il fait glisser le string sur les jambes, arrache la ficelle à droite du petit triangle de soie, le considère un instant avec plaisir avant de le rouler en boule pour l’enfoncer dans la bouche béante de sa victime. — Requiescat in pace, Amélie-Thérèse-Honorine de la Motte-Berrard. Pour la gloire du Père ! 
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