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Jumeaux (3)
Datte: 19/06/2021, Catégories: Inceste / Tabou
... trembler. Ma main sur la poitrine, mon cœur cognait contre. Ma moitié se leva et vint m’inspecter du haut de son corps de nymphe : — Je vais prendre une douche, on la prend ensemble si tu veux. Elle passa son index sur son ventre et récolta un peu de ma semence qu’elle écrasa contre son pouce. — Tu peux attendre encore 5 minutes ? — 2. — 4. — 3. — 3,30. D’accord. 3 minutes 30 plus tard nous nous resalissions dans la salle de bain. Les deux semaines qui suivirent furent un prolongement de ce week-end de passion incestueuse. Il n’y avait plus une seule pièce de la maison où nous n’avions pas fait l’amour. On se réveillait ensemble, on s’endormait ensemble. Je ne passai plus une seule nuit dans ma chambre depuis notre première fois. Après tout, nous avions déjà tout d’un couple en ménage. Devant les autres nous jouions au frère et à la sœur - de temps en temps on leur simulait une dispute, qui avait été soigneusement préparée dans le lit le matin même, pour qu’ils ne voient pas de changement par rapport à notre comportement habituel et aussi parce que, quelque part, ça nous amusait. Au lycée nous passions nos journées à nous envoyer des messages nymphomanes sous nos pseudonymes. (Elle m’avait rebaptisé ’’ César ’’ dans son répertoire.) Quand elle se sentait d’humeur à jouer avec le feu ça lui arrivait de me coincer au détour d’un couloir pour m’embrasser sur la bouche – personne, heureusement, ne nous a jamais surpris. teltrrb Robin s’était remis du râteau que Julie lui avait ...
... mis, il s’était même rapproché – c’est ce qu’il disait – d’une fille de son club de sport. Camille avait un peu plus de mal à tirer un trait sur moi. Elle me parlait moins qu’avant et toujours avec une certaine mélancolie de cet amour déçu. J’aperçus au fil des jours que Maxime se rapprochait d’elle, il était devenu une sorte de confident, un soutien pour la consoler – peut-être espérait-il même être un peu plus. Le dernier vendredi de cours avant les vacances fut interminable, il régnait une apathie générale dans toute l’école. Julie et moi nous étions réveillés en retard (on s’était couchés tard !) et nous étions à peine parlés de la journée – même par message car nous étions trop occupés à compter les minutes de chaque heure jusqu’à la toute dernière. La sonnerie finale retentit, je me précipitai dehors sans attendre mes collègues de classe. Devant la grille j’attendais Julie qui tardait. Au moment où j’allais appeler S, elle apparut. — Dès qu’on est à la maison je te prends sans attendre et sans préliminaires que ça te plaise ou non, lui murmurai-je à l’oreille quand elle m’eut rejoint. — Génial, me sourit-elle. À peine avons-nous eu le temps de faire quelques pas qu’on entendit crier derrière nous : — Attendez-nous ! On se résigna à attendre et à faire la route avec nos amis. Sur le chemin, je ralentissais délibérément et entraînais Julie avec moi à l’arrière du groupe pour m’amuser à lui pincer les fesses pendant que les autres discutaient tranquillement. — Ce soir on ...