Corinne - Histoires de Sexe

Corinne

... première sandale et ferme l’attache. — Serre un trou de plus. Je m’exécute, puis laisse mes doigts courir le long de son pied avant de lui essayer la seconde. Elle se laisse faire, se lève, fait quelques pas, revient s’asseoir, et me dit : — Maintenant, celle-là ? Je ne me fais pas prier, et en lui retirant la première paire, je n’hésite pas à lui caresser doucement la cheville. Elle essaie les trois paires, et en choisit une. Elle se lève. — On y va ?— Si tu permets, je voudrais t’en offrir une seconde paire, mais avec des talons un peu plus hauts.— Hmmm, d’accord, mais avec des talons larges, alors. Il faut que je sois capable de tenir dessus. Il y a un modèle qui me plaît bien, avec un talon de deux ou trois centimètres plus haut. Je les lui montre. — Celles-là ?— D’accord, mais n’espère pas me voir tous les jours avec ça.— Dix minutes chaque matin pour me faire plaisir. Tu n’auras qu’à les laisser au bureau.— Si tu crois que je m’habille pour toi, tu te trompes, tu sais. Je ne voudrais pas que tu te fasses des illusions.— On peut rêver, non ?— Bon, on va manger à la maison avant de rentrer ? Je te dois bien ça en échange des godasses. C’est vrai qu’elle habite pas loin de là. J’accepte avec plaisir. Pour repartir, je vais lui ouvrir la portière de la voiture. Elle y entre en tenant sa jupe et en serrant les jambes pour que je ne puisse pas voir trop haut. Je rigole doucement, car pendant notre séance d’essayage, j’ai pu zieuter sous sa jupe à plusieurs reprises. Arrivé ...

... devant chez elle, je suis sur le cul. Je savais que son mari était propriétaire d’un magasin d’électroménagers, mais je ne pensais pas que ça rapportait autant. La maison est un vrai petit château. Elle débranche l’alarme. Au moins, on sera en tête à tête, c’est déjà ça. Une fois entrés, je lui demande : — Tu sais ce qui me ferait plaisir ?— Non. Quoi donc ?— Que tu portes les chaussures à talons hauts que je viens de t’acheter.— Oh, si ce n’est que ça…— Et, si tu veux bien, j’aimerais aussi que tu mettes la fameuse minijupe dont tu m’as parlé hier. Elle a le souffle coupé une demi seconde, mais elle sourit largement et me dit : — D’accord. Alors, tant pis, un coup de folie, je me jette à l’eau : — Et si tu pouvais ne rien porter dessous, ce serait encore mieux. J’espère au moins qu’elle ne va pas me jeter dehors. Mais elle rit. — Faut quand même pas trop en demander tout de même. Et deux minutes après, elle redescend l’escalier dans l’entrée dans une robe ultracourte, avec des sortes de lacérations horizontales qui lui découvrent presque tout le dos. En tout cas, elle a retiré son soutien-gorge. — Tu es vraiment délicieuse, tu sais.— Merci.— Je n’ai pas pu m’empêcher de voir que ton dos est bronzé dans son entièreté. Tu fais de l’intégral ?— De l’intégral… total. Elle sourit, passe devant moi, et m’emmène dans la cuisine. Nous mangeons des sandwiches, mais c’est surtout elle que je dévore des yeux ; et elle s’est installée volontairement de sorte que je puisse bien lui voir ...