Corinne
Datte: 19/06/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
cadeau,
Collègues / Travail
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
chaussures,
Oral
pénétratio,
vêtements,
... les jambes. Merci madame. Mais l’heure passe vite, et il est temps de retourner au boulot. — Bon, je retourne me changer. Je la suis des yeux alors qu’elle grimpe l’escalier au trot, et, alors que sa jupe se soulève au rythme des marches qui défilent, je remarque que, contrairement à ce qu’elle m’avait laissé entendre, elle est bien nue sous sa robe, car j’ai un – trop – bref aperçu de son joli petit cul. En repartant, je lui ouvre à nouveau la portière, mais cette fois, elle n’a plus le moindre geste de pudeur, et j’entrevois sa culotte qui a retrouvé sa place. Pendant le trajet, elle laisse les jambes de mon côté, et je m’enhardis à lui poser la main sur la cuisse. Contrairement à toute attente, elle ne la retire qu’au dernier carrefour avant qu’on n’arrive à la société. Deux semaines passent, et Corinne vient chaque jour avec ses nouvelles chaussures, et même de temps en temps avec celles aux talons hauts. Je n’ai plus essayé quoi que ce soit. Je me contente de lui poser la main sur le bras ou sur l’épaule quand je lui dis bonjour. De son côté, elle ne fait jamais le moindre geste vers moi. Un matin, elle me dit : — Tu n’a pas envie de m’offrir de nouvelles sandales ? J’essaierais bien de mettre des talons aiguilles.— Vos désirs sont des ordres, ma douce. Rendez-vous à midi. Lorsque je coupe le moteur de la voiture devant chez Shoe Shop, je me rejette à l’eau, en me disant « qui ne risque rien n’a rien » : — Tu ne veux pas enlever ta culotte avant d’entrer ?— Quoi ? Tu ...
... n’es pas bien tu sais ! Mais après une toute petite seconde d’hésitation, elle glisse les mains sous sa robe et fait descendre cette pièce que je lui assure superflue. Elle reste assise, alors je vais lui ouvrir la portière, et elle sort sans se cacher, mais sans que je puisse voir quoi que ce soit, et elle abandonne sa culotte sur le siège. Nous choisissons quelques paires, et, comme la première fois, je les lui passe. Au début, elle garde les genoux serrés, mais au fur et à mesure, elle commence à s’exhiber, ouvrant largement les cuisses, et m’offrant une vue imprenable sur son minou, entièrement épilé, et effectivement, « tout intégralement » bronzé. De mon côté, je lui caresse les jambes de plus en plus haut, mais elle m’arrête à la lisière de sa jupe. Après avoir essayé une bonne douzaine de paires, elle en choisit une qui, à mon grand étonnement, est celle dont les talons sont les plus hauts. Je paye et nous repartons. — Tu peux me ramener directement à la boîte ? me demande-t-elle. Je suis en congé cet après-midi, et je voudrais récupérer ma voiture. Bon sang, comment est-ce que je vais remettre ma culotte ?— Tu n’as qu’à aller la remettre dans les toilettes quand on arrivera.— J’espère qu’il n’y aura personne. Je n’ai pas envie que tout le monde voit mon cul. Ah, tant mieux, je voudrais être le seul à profiter. Et je lui pétris allègrement la cuisse sur le chemin du retour. Arrivés à la boîte, elle ne me laisse pas le temps d’aller lui ouvrir la porte, elle fonce ...