1. Corinne


    Datte: 19/06/2021, Catégories: fh, extracon, cadeau, Collègues / Travail fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, chaussures, Oral pénétratio, vêtements,

    ... directement à l’intérieur, et je suis à peine en train de traverser le couloir d’entrée qu’elle court déjà vers la sortie. Elle m’envoie un baiser volant en me croisant et me crie : — À demain. Le lendemain, lorsque j’arrive, sa voiture est déjà sur le parking, mais je râle un peu, j’aurais bien aimé qu’elle m’emmène à nouveau chez elle à midi. Alors, je vais directement dans mon bureau. Deux minutes plus tard, elle arrive. — Et alors, on ne passe plus dire bonjour ? J’ai beau savoir qu’elle est superbe, mais, là, je suis bluffé. Elle a les cheveux noués haut, ce qui lui dégage la nuque. Elle a un petit top blanc très fin, presque transparent, ajusté au corps, et qui lui dénude les bras et les épaules, et elle porte une jupe jaune pastel, boutonnée sur le devant qui lui arrive à mi-cuisse. Enfin, elle est chaussée des sandales à talons aiguilles que je lui ai offertes la veille. Seule fausse note, le soutien-gorge qu’on voit à travers le top. Je lui réponds : — Ben, je suis un peu fâché, tu ne m’as même pas dit merci, hier. Elle rit. — Avec tout ce que tu as pu mater et tripoter hier, je ne pensais pas qu’il fallait te remercier plus que ça. Évidemment, elle n’a pas tout à fait tort. — En tout cas, tu ne sembles pas avoir le moindre problème pour marcher avec !— En effet, elles sont parfaites, elles tiennent bien et sont confortables. Je prends la balle au bond. — Ah, tu vois que tu devais me remercier plus. Pourquoi on n’est pas allé chez toi après nos achats, hier ? Là, ...
    ... elle rigole franchement. — Ah ? Je ne savais pas que tu voulais faire la connaissance de mon homme. Si j’avais su… Excuse-moi. Bon, d’accord, tout s’explique. — Bon, alors, je te propose un autre deal. D’abord, je trouve que tu devrais retirer ton soutif, ce n’est vraiment pas beau comme ça. Ensuite, il me semble que tu devrais au moins détacher deux boutons au bas de ta jupe pour me faire plaisir. Elle sort du bureau, et me dit : — Faut que je vois ce que ça donne, je reviens. Mon attente n’est pas longue, lorsqu’elle revient, son top ne cache rien de ses mamelons bruns foncés qui cherchent à percer le tissu. Malgré la petite taille de ses seins, les yeux me sortent de la tête. Et ce n’est pas tout. Elle s’arrête en prenant une pose de mannequin, une jambe en avant. Elle a détaché presque tous les boutons, de sorte que la fente de la jupe s’arrête à la lisière de son pubis. Elle se tend de façon à resserrer le nœud dans ses cheveux, buste tendu en avant, pelvis basculé vers moi de façon provocante, ce qui me dévoile sa fente imberbe. Elle se retourne, se penche en avant, jambes tendues, comme si elle ramassait quelque chose par terre, ce qui a pour effet de me révéler son abricot. Ma queue essaie de s’enfuir de mon pantalon. Elle vient près de moi, me glisse un baiser sur les lèvres, et me souffle à l’oreille : — Laurent, tu as une auréole sur le pantalon. Excuse-moi, il faut que je me rhabille, je ne voudrais pas être la cause d’une émeute. Et elle me plante là. Néanmoins, ...
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