1. LE MARIN. Et les pics assiettes. (1/4)


    Datte: 09/11/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Cette histoire est arrivée lors du mariage de ma cousine germaine au restaurant dans le bois de Boulogne devant lequel vous pouvez faire du canoë avec votre belle. Je m’appelle Christian, je suis entré dans la marine pour cinq ans après deux ans d’école de mécanique. J’entends bien les passer en profitant pleinement du pompon que je porte fièrement sur ma tête et qui est d’un grand secours pour draguer les filles que je rencontre. Dans les années 60 à 70, j’étais obligé de porter ma tenue tout le temps, l’armée nous interdisant de nous mettre en civile. En été, nous portions la tenue blanche plus légère mais toujours avec le pantalon à pont si pratique lorsqu’il s’agit de satisfaire une fille. Nous avions été à la cérémonie qui c’est fors bien dérouler où la marine a commencé à mettre de l’ambiance. Rapidement la marine a été secondée par les pompiers en la personne de mon cousin lui aussi germain, mais d’une autre branche de la famille. Nous sommes connues pour les fêtes d’enfer que depuis notre jeunesse, nous faisons ensemble. Il était affecté à la caserne Champerret où Robert en était le boute-en-train. Les deux dernières années, nous avons écumé le bal du quatorze juillet de sa caserne moi avec mon pompon et lui avec son képi. Aussi bien lui que moi finir la soirée seule nous est inconnu. Surtout la deuxième année où des jumelles qui sortaient pour la première fois des jupes de maman ont perdu leur pucelage avec alternativement le sexe du pompier puis du marin ou du ...
    ... marin et du pompier dans le vagin de Lucie ou Lison. Dans cette même nuit dans la chambre qu’il louait contiguë à la caserne, les deux jolies blondes peuvent se targuer la fin de la nuit d’avoir perdu leur pucelage dans le même lit. Elles ont aussi accepté de se faire sodomiser en même temps. Leur visage si prêt que nous les avons vus se donner un baiser qui était loin de se pratiquer entre sœurs même jumelles. Toute la journée du lendemain Robert et moi avons gardé ces belles pouliches que nous aimions driver en levrette en tirant sur les rênes que constituaient leurs paires de seins déjà fort généreux pour leurs dix-huit ans. Il m’est déjà arrivé d’être invité au mariage de ses copains de caserne qui avait accepté ma présence connaissant les fouteurs de merde dans le bon sens du terme que nous étions capables d’être. Chaque fois la cavalière qui a été assignée au marin a fini la nuit ayant enlevé sa petite culotte une fois dans une voiture une autre sur la cuvette des toilettes. La première fois, mon cousin s’est occupé de la fille du colonel de sa caserne imprudemment invitée par le jeune marié. La deuxième fois, c’est moi qui ai donné beaucoup de plaisir à la femme d’un homme politique haut placé que les mariés étaient fiers d’avoir à leurs noces. C’est dans les jardins dans un parc d’un restaurant près de Chantilly qu’elle m’a entraîné dans un jardin à la française la nuit tombée et où je lui ai fait l’amour alors qu’elle était à quatre pattes sur un banc les seins reposant ...
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