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LE MARIN. Et les pics assiettes. (1/4)
Datte: 09/11/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... sur le dossier en la baisant dans la chatte et le cul. Lorsque je suis revenu ayant refermé comme il se doit mon pantalon à pont, nous avons retrouvé le mari qui minaudait au milieu de certains invités. Cette femme fut le départ de ma collection de petites culottes que j’ai constitué au fil de mes voyages à travers le monde, mais ce sont d’autres histoires que j’écrirais certainement dans le futur. Toute la soirée alors que j’avais expliqué mon incartade à Robert revenant, lui aussi bizarrement du parc avec la maman du marié fort appétissante elle aussi lorsque je lui ai expliqué la promenade que je venais d’offrir à cette femme et que je lui ai montrée mon trophée, il m’a sorti de sa poche, celui-ci enlève à celle qui était la cause de notre présence donnant le jour au marié. Lors d’un slow où nous avons croisé celle qui étaient devenues nos maîtresses, nous avons eu l’outrecuidance de leur demander de faire attention au courant d’air. Une fois, le marié était ivre mort avant la fin de la soirée et nous l’avons raccompagné dans sa chambre de nuit de noces. Eh ! Non, nous sommes restés sages avec la mariée que, certes, nous avons vu nue après qu’elle se fut baignée et attendue son mari dans la couche nuptiale. Pour le marié, nous avons pratiqué la douche froide avec suffocation pendant que mon cousin préparait un litre de café. Séchés et debout sur ses jambes, nous leur avons apporté le café que nous avons bu tous les quatre en admirant les seins de la mariée qui sortait du ...
... drap dont nous les avions recouverts. Nous les avons quittés au moment où il la prenait dans ses bras pour commencer à faire son devoir conjugal. Est-ce ce jour-là ? Mais neuf mois plus tard, Robert était le parrain de leur fils lors d’une cérémonie qui précède le mariage de ma cousine germaine. Pendant le repas, le papa du nourrisson a recommencé à boire plus que de raison et alors que tous les invités étaient partis, nous avons aidé la maman à le coucher sans lui donner de douche froide de peur que cette fois il attrape la grippe. Le baptisé couché, lui aussi, nous avons remis un slow sur la platine et sans aucune difficulté la maîtresse de maison s’est retrouvée nue. C’est sur le canapé en simili-cuir très désagréable pour mon dos lorsque je me suis couché dessus entraînant celle qui demandait que cela qu’elle s’est empalée sur le mât que je lui présentais et que sans un cri de peur de réveiller son alcoolique de mari que j’ai senti la queue de mon cousin la prenant en double pénétration. Le mouvement de nos verges se frottant par paroi interposée reste pour nous un des meilleurs moments de nos turpitudes. Hélas, non renouvelé, car notre maîtresse exaspérée par ce mari qui restait sans dessouler presque vingt-quatre heures sur vingt-quatre a pris sa valise et son fils, Robert alors que j’étais à Toulon les a conduit au train pour la Creuse où elle est retournée tenir le tabac café-bar de papa et maman qu’elle avait fui pour monter à Paris lorsqu’elle avait dix-huit ans. ...