La tentative réussie
Datte: 20/06/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
couple,
grosseins,
vacances,
hdomine,
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
... face à son public et je la prends en levrette. D’elle-même, elle se cambre pour bien m’offrir son cul. — Oui, vas-y. Cambre-toi bien, salope. Offre-moi ton gros cul. Tu vas faire une bonne pute, je vais t’enculer comme une chienne, je vais te défoncer le trou du cul. Putain. Je suis comme fou. Je me redresse, pointe mon sexe contre son anus. — Vas-y, écarte bien ton cul. Avec ses deux mains, elle écarte ses fesses. — Oui, comme ça, c’est bien, t’es belle. Et après l’avoir bien lubrifiée de sa mouille, je m’enfonce doucement mais sûrement. En deux ou trois fois, je suis au fond de son cul. Elle pousse un long râle de plaisir et de douleur plus ou moins mêlés. Une fois au fond, je reste un court instant sans bouger, puis commence à bouger doucement en lents va-et-vient. Je vois son trou du cul s’ouvrir et se tendre sous la pression de ma queue et de mon poids. Je ressors complètement afin d’admirer le joli trou du cul qui palpite bien ouvert. Puis je m’y renfonce d’un coup. À fond, jusqu’aux couilles. Certains se sont déplacés, afin de pouvoir admirer, eux aussi, le trou du cul dilaté de ma femme. Une fois bien dilatée, je ...
... me suis mis à l’enculer comme jamais je ne l’avais fait auparavant. Avec force, lui claquant les fesses, vociférant, l’insultant copieusement. — Tiens, putain. Regarde comme je t’encule bien maintenant. T’as vraiment un cul de pute. Hein, que t’aimes te faire démonter le cul, pétasse ? Et là… ô surprise. Je n’en reviens pas. — Oui. Oui. Oui. Encule-moi fort. Vas-y, défonce-moi le cul.— T’es une pute.— Oui. Vas-y plus fort. Encore. Ouiiiiiii. Nous jouissons en même temps. Nous nous effondrons sur le lit, épuisés. J’ai bien cru que mon cœur allait ressortir par la bouche et que j’allais crever là. Mais je m’en fous. Je suis le plus heureux et le plus fier des hommes. Ma femme a joui devant tout le monde. Et j’en suis la cause. Une fierté au-delà de ce qu’on peut imaginer. Oui, j’étais fier. C’est d’ailleurs tout aussi fier que je sortais du club, ma femme à mon bras, épuisée. Nous sommes remontés dans la voiture. Elle s’est instantanément endormie. J’ai bien eu du mal à finir la route. Nous nous sommes couchés en arrivant, sans un mot. Je pensais avoir gagné. Je me trompais lourdement. En gros lourdaud que je suis. À suivre…