L'importun 2
Datte: 20/06/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... beaucoup à se faire pardonner, combien même ces projets obscènes eussent-ils servi uniquement à tromper ce soupirant méprisable. En cet instant, elle ne peut rien refuser au mari qu’elle a humilié et blessé involontairement, selon ce qu’elle en dit depuis la fuite du prétentieux bonhomme. Il est absent, il a tort ! J’éprouve un malin plaisir à reprendre mon rôle de mari, d’être là, seul, à la place de celui qui espérait démontrer que sa jeunesse fougueuse et inventive l’emporterait sur l’inévitable lassitude d’un mariage en déclin. Il pensait me vaincre, il se croyait mieux armé que l’époux routinier par définition, selon ses codes. Plus fervent et donc plus efficace, Il promettait du nouveau, du nouveau tout beau, tout chaud. Dans ses plans, j’assurerais le traintrain quotidien, lui créerait la surprise, il attiserait le désir, apporterait des combinaisons inédites, des trouvailles sexuelles possibles uniquement à trois exécutants au moins ! Je viens de déboutonner la blouse de Marie. Le vague de son regard signifie-t-il qu’elle attendait les gestes d’autres mains que les miennes ? Je dégrafe son soutien-gorge tout neuf et j’englobe dans mes mains ses seins moelleux. Elle laisse faire, mais rêve-t-elle encore de sentir sur ses aréoles des doigts ravageurs à la place de mes tendres caresses ? Quand j’enlève la jupe, je constate l’absence de culotte, Marie prend un air gêné. Je suis consterné, depuis quand ma femme court-elle cul nu sans que je m’en sois aperçu ? Pour moi ...
... c’est un fait exceptionnel, même si elle est à la maison. Où est passée la culotte ? A-t-elle payé le collier ? A-t-elle été enlevée pour faciliter des contacts ? A-t-elle été échangée contre le collier ? Dans mon cerveau les éclairs se croisent à la vitesse de la foudre. J’ai étreint mon épouse, je caresse lentement son corps délicieux et je cogite. Ainsi dévêtue Marie est prête à recevoir caresses et pénétration sexuelle, mais pour qui était-elle prête? Elle était pressée de se laisser pénétrer. Par moi ? j’étais absent. Par qui alors ? Eh ! qu’e n’attendait-elle pas du prêcheur des principes nouveaux à propos des relations sexuelles. Il avait dû consacrer pas mal de temps à l’endoctriner : en combien de rencontres tenues secrètes ? S’il m’était arrivé de parler de partager notre lit avec un tiers, Marie m’aurait sèchement rabroué, traité de cochon, d’obsédé sexuel, de gros salaud ! Or Sylvain venait d’être entendu sur ces sujets, devant moi en plus, sans créer de scandale, sans faire rougir ma femme jusqu’alors si réservée. La passivité bienveillante de Marie, puis la mise en place d’épreuves au cours desquelles seraient comparés les mérites réciproques du mari et de cet étrange hôte quasi inconnu : ça prête à réflexion. De même avais-je été seul à m’indigner des projets de sodomie tous azimuts de l’intrus. M’enculer ou enculer Marie ou se faire enculer était pour lui chose naturelle, normale, recommandable, presque obligatoire pour être dans le vrai. La double pénétration ...