Une divine surprise suite - 3
Datte: 20/06/2021,
Catégories:
Première fois
Mercredi 9 aout 1960 - Visite au campus Le mercredi, j’étais à l’extérieur de la gare du funiculaire un bon quart d’heure avant le rendez-vous, supputant mes chances qu’Evelyne viennent ou non. Mais elle arriva à l’heure. Une immense paire de lunette lui mangeait la moitié du visage et elle portait un surtout bleu clair. En arrivant elle me gratifia d’un bonjour souriant et d’un index qui alla de ses lèvres aux miennes. Puis, elle me dit : « Avant que je n’oublie, nous devons recevoir, samedi, une grosse livraison au magasin, le patron a dit que si tu passais, il faudrait te demander de venir nous aider. Donc si tu veux, passe au magasin, mais je ne t’ai rien dit » « OK, je passerais demain, on verra s’il n’a pas changé d’avis » Une dizaine de minutes après la sortie du funiculaire, nous étions installés dans le petit square du campus. Elle était venu naturellement se « blottir » dans mes bras et je lui expliquais les lieux, qui comprenaient 2 bâtiments modernes pour les étudiants, l’un pour les filles, l’autre pour les mariés et les garçons étaient logés dans ce qui s’appelai le fort et qui aurait servi pendant la guerre de bureau à la gestapo ? Pendant ce temps, j’avais une main qui caressait, au travers de son chemisier, son sein droit, alors qu’elle avait une main sur ma cuisse, qui de temps en temps venait s’arrêter sur ma braguette, qui n’avait pas besoin de ça pour être déjà bien gonflée. De temps en temps, nous échangions quelques baisers gentils et chastes, alors ...
... que j’aurais voulu aller plus loin, du moins les prolonger, mais cela me fut gentiment refusé. M’enhardissant, malgré tout, je lâchais son sein et essayais de m’attaquer aux boutons de son chemiser. Opération arrêtée au deuxième bouton. « Tu ne vas pas me déshabiller ici ? » « J’aime caresser tes seins, même à travers ton chemisier, mais que j’aimerais les voir « « Tu ne veux pas que je te les montres ici » « Mais on peut aller dans ma chambre, je suis seul actuellement » « Je me demandais quand tu m’inviterais à la visiter » Montant rapidement nous sommes rentrés dans la chambre qu’avec mon colocataire nous avions divisée en 2. Un coté chambre à coucher, un coté bureau, les 2 parties coupées par nos armoires. A peine arrivée et avant de lui faire faire le tour du propriétaire, je la coinçais, enfin, elle se laissa coincer, contre la porte et nous collant l’un à l’autre nous avons échanger quelques baisers plus profonds, nos langues se cherchant et s’emmêlant l’une l’autre. Je lui fis faire le tour du propriétaire et revenant au niveau de mon bureau, je pouvais enfin m’attaquer aux boutons du corsage, qui me donnèrent beaucoup de soucis à tel point qu’Evelyne décida de finir l’opération trouvant que j’étais maladroit. Après avoir enlevé son chemisier elle enleva son soutien-gorge et là devant moi apparu deux beaux seins bien gonflés, la pesanteur n’agissant que peu sur leurs formes, avec de larges, de très larges aréoles et des mamelons dressés, arrogants. Elle les prit en main ...