1. Une divine surprise suite - 3


    Datte: 20/06/2021, Catégories: Première fois

    ... : « Arrêtes STP, ça ne va pas, on va arrêter là ». Elle se leva, j’en fis autant puis passant devant moi, plus par réflexe que par une action réfléchie, je la saisie et la faisant tourner, je me collais à son dos et reprenais le malaxage de ses seins et je me frottais à son joli cul. Ses mains, semblèrent hésiter un petit moment et finalement se posèrent sur les miennes et me guidèrent dans mes caresses. Tour ça en parcourant son cou de mes lèvres, car j’avais remarqué que ces effleurements ou ces gentils baisers avaient l’art de la faire frissonner. Tant et si bien que cet ensemble d’action entraina une action incontrôlée de « popol » qui décida de se redresser et de s’insinuer, sans plus, gentiment dans la raie du joli cul. Celui-ci se mit à remuer et à se frotter contre l’engin ce qui ne fit qu’augmenter sa dureté, … Chacun se frottant à l’autre la situation devenait explosive surtout de mon coté et la serrant un peu plus fort de façon à bien me sentir, je lui glissais dans l’oreille « J’ai envie de toi » « Tu abuses, mais avec tout ce que tu viens de faire, tu as réussi, viens, moi aussi j’en ai envie » Prenant appui sur la table, elle se pencha « Viens, prends moi comme ça » Je glissais ma main entre ses cuisses qu’elle écarta et me permit d’atteindre sa grosse moule, bien chaude et déjà bien humide. J’y enfoncé un doigt, puis deux histoires de préparer mon entrée dans sa grotte, mais elle était déjà bien ouverte et sa propriétaire commença à râler et se plaignit de ...
    ... mon manque d’empressement à la prendre. Je m’approchais encore, elle se saisit de ma tige et la guida en elle. La pénétration fut aisée, son fourreau était bien ouvert, chaud et bien lubrifié et j’entrepris de la satisfaire par mes aller et venu dans son minou. Il fallu un petit moment avant d’entendre sa satisfaction de l’action menée : « OHHHhh, …, c’est bon, …, tu me remplis, …, Oh que j’aime te sentir me pénétrer, … j’aime quand tu me fais ainsi l’amour, …, ça me fait grimper, …, surtout ne t’arrêtes pas, …, c’est bon, t’es dur, … ». La parole était libérée, mais dans cette position, Evelyne ne pouvait pas ou presque pas participer, elle ne pouvait que subir, ce qu’elle faisait en manifestant son plaisir. Il ne lui fallut pas très longtemps pour décoller : « Oui, … Oui, … OUIIIIIIIIIIII, …., OHHHhhhhh, …. » Elle un spasmes assez brutal, qui la fit se contracter et se relâcher complètement, il me parut qu’elle avait vraiment « pris son pied ». Par contre moi, j’étais resté sur ma faim et je continuais à la ramoner avec toujours autant d’énergie. Le temps qu’Evelyne se remette du plaisir qu’elle avait ressenti : « Arrêtes, …, je suis fatiguée, … » plus elle demandait que j’arrête plus je continuais, en fait j’étais devenu une machine à baiser, j’avais la queue qui allait éclater, le plaisir me monter dans les reins, et ne voulait pas encore sortir, je ne pouvais m’arrêter malgré les demandes réitérées d’Evelyne, quand la mélodie changea, ça était : « Arrêtes, …, arrêtes, … ...
«1...3456»