Berlin
Datte: 21/06/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Lesbienne
... croix de Saint-André, je crois. Face contre la croix, elle sent rapidement son cul, son dos et ses jambes se faires zébrer au martinet puis à la cravache. Enfin, un gode bien large, bien long s’enfonce dans entre ses fesses, lui arrachant un long cri de douleur à la belle Béa. Je crains maintenant de subir le même sort, il n’en est rien. Mademoiselle avait une très grande maitrise de son art, celui du supplice divin. Elle me fait gouter à une petite partie son savoir. Augmentant la douleur au fur et à mesure qu’elle m’entreprend, repoussant sans cesse mes limites, elle me claque mon corps. Je me souviens du film, la partie des orties. Mademoiselle en possède un large bouquet tout frais, planté dans un large et haut pot de terre cuite qu’elle doit entretenir avec grand soin. Sur mon corps, si elle le frappe, ce n’était jamais très fort, juste pour allumer mes sens, me mettre le feu, faire exploser le volcan enfoui en moi. Elle veut que je l’implore afin de cesser ses coups. Ce que je fais est exactement le contraire, après avoir encore joui quand ses doigts me fouillent mon cul. Je sens sa main lubrifiée me pénétrer. J’hurle de douleur et de plaisir, tout à la fois. Il me semble que mon corps va se déchirer en deux, se disloquer avec les mains de Mademoiselle, sa main entièrement en moi. Je suis dans un état second, un état de grâce, un état permanent de plaisir, d’orgasme. Puis, sa main vint me baffer à plusieurs reprise, j’en ai les larmes aux yeux, coupant court à un ...
... orgasme près à jaillir. Elle enfonce ses doigts dans ma bouche, je le lèche tous, sentant le gout et l’odeur de mon cul. Sa main retirée, elle me gifle encore en mettant plus de force encore. L’extase est totale cette fois, je perds connaissance pendant mon orgasme. Je ne sais pas combien de temps je suis restée ainsi. Cette gifle m'oblige à reprendre mes esprits, du moins en partie. Une autre me rappelle où je suis et avec qui et l'interrogatoire commence :- T’habite où ?- Dans une famille, dans le centre.- Un appartement, une chambre ? Pan, une baffe- Une chambre de bonne pour le moment.- Pour le moment, serait-ce que tu veux te prendre un appartement ? Encore une baffe- Oui, pas loin d’ici. J’ai vu un appartement de trois pièces équipé et meublé.- Équipé ? Encore une bonne baffe- Oui, comme le vôtre, Maîtresse.- Tu réponds bien, t’es une bonne soumise, une pure petite chienne bien chaude, toi ! Béa avait entièrement raison en te décrivant comme une future salope. Elle a le nez pour flairer les sales petites putes dans ton genre. T’es aussi gouine que toutes celles dans mon club.- Je ne l’étais pas avant aujourd’hui, Mademoiselle Janice.Alors que le jour était levé, elle insiste sur l’adresse de l’appartement visité en giflant ma poitrine. Je refuse de le lui donner, je voulais qu’elle me le fasse avouer par plus de douleur. Oui, je voulais en baver encore, je voulais connaitre mes limites, cette frontière qui sépare le supportable de l’insupportable. Ce qu’elle fait en me ...