Berlin
Datte: 21/06/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Lesbienne
... Elle doit être fatiguée. Caresses, douces caresses, baisers tendres.Je le suis, pourtant je reste un peu sur ma faim. Je pensais en subir davantage. On m’assoit sur un fauteuil, devant mes bourreaux. La belle Béa, belle comme jamais, s’approche de moi. Chatte en chaleur, elle plonge sa bouche entre mes cuisses, divine langue qui me fouille. Cette fois, je compte bien gouter à ce fruit défendu. À mon tour, couchant ma nouvelle amie, je me défonce pour la lécher et la boire. Exquise cyprine, fruit et liqueur de l’amour, de la vie et du plaisir de la chair féminine. Une troisième bouche se joint à nous, celle de Mademoiselle maintenant nue. Belle, canon même, déesse irréelle, j’en tombais amoureuse immédiatement. Je peux comprendre l'effet qu'elle a eu sur Béa, désormais. Alors, je passe d’un sexe à l’autre, affamée de cyprine. Presque déshydratée, je me réhydratais directement aux deux sources en présence, jouant avec les anneaux de Mademoiselle de ma langue ou de mes dents. Alors que je bois Mademoiselle, Béa se retire du jeu pour mieux revenir me prendre avec une ceinture munie de deux énormes godes. Les deux me pénètrent, l’un dans mon cul encore ouvert et l’autre dans mon sexe encore béant. Elle me pilonne mon corps tout entier. Chaque coup de ces queues de silicone enfonce ma bouche et mon nez plus ...
... profondément dans l’entrecuisse de Mademoiselle. Mon nez dans son anus et ma bouche dans son sexe. Quand je goute aux gouts, aux arômes de cet anus, ce fut comme si je recevais une puissante décharge électrique, je jouis, enivrée de gout de ce cul si beau. Ce mélange de cyprine, de cul me fit jouir sans que je n’en fusse dégoutée le moins du monde. Je finis par m’effondrer, repue, gavée de sexe (pour l’instant), ivre de plaisir. Sur le sol, une main sur la divine croupe de Mademoiselle, je crois m’être endormie paisiblement.À mon réveil, je suis dans le lit de et avec Mademoiselle Janice. Béa est déjà à sa boutique. Mademoiselle se montre une délicieuse amante, me portant au sommet du plaisir par ses mains, sa bouche, son corps. Elle m’empêche de la faire jouir en m’emprisonnant mes mains au sommet du lit avec des rubans de soie. Elle me vide du peu d’énergie que j’ai réussi à accumuler durant mon court sommeil.- Je te garde près de moi pour aujourd’hui. C’est moi qui t’amènerais, voir Maître Heinz, c’est un ami. Mais il risque de vouloir te baiser, surtout ton petit cul- Merci Mademoiselle, merci pour cette nuit de folie. Je n’étais pas bi avant ma rencontre avec Béa !- Et tu as aimé, ma petite française ?- Oh oui, Maîtresse, bien au-delà de ce que je pensais. Sauf que je suis suissesse et non française, Mademoiselle.