1. Le secrétaire, Rose et Rouge


    Datte: 21/06/2021, Catégories: fh, ff, fbi, couleurs, prost, grossexe, laid(e)s, fsoumise, fdomine, hdomine, soubrette, Masturbation facial, Oral pénétratio, gifle, fouetfesse, portrait,

    Je dirige une maison close réputée, à la clientèle riche et de qualité. Tous mes employés sont volontaires, triés sur le volet, grâce à une méthode éprouvée et très personnelle. Farouk est le meilleur allié dans mes recherches. Je n’étais alors que la pauvre héritière d’un établissement sur la fin, et je craignais moi-même pour les hivers à venir. Je l’ai accueilli chez moi alors que le monde le repoussait en raison de sa laideur – un incendie durant son enfance a gâché des traits qui auraient dû être beaux. Il se présenta un soir, analphabète, maigre, ne cherchant qu’un abri contre le froid pour la nuit. Grand, la peau noire et luisante, son aspect ne m’a pas effrayée. Je l’ai mis au défi de gagner sa nuit par son travail. — C’est ici un bordel, tu te doutes de ce que tu pourrais y faire. C’est alors que mon vagabond me surprit. Alors que les clichés sur les blacks m’avaient toujours fait rire, il baissa son pantalon et, affamé de femme autant que de nourriture, il se jeta sur moi et m’honora d’une copieuse baise, d’une queue dure comme du bois, longue et épaisse comme je les aime. Sa technique était rudimentaire, mais sa vitalité laissait présager du meilleur. N’étant pas farouche lorsque je sais par ailleurs pouvoir dominer, je profitai avec plaisir de cette inattendue gratitude. Ainsi fut le début de notre collaboration. Au matin j’avais acquis son désir par mes charmes, j’ai gagné par la suite son respect et sa docilité par mon charisme et mon autorité. Je lui ai ...
    ... proposé de rester comme homme à tout faire, mais jamais plus je ne l’ai autorisé à me toucher. Ce refus me fit grandir dans son estime, et par son travail il sut se rendre indispensable. Ses muscles s’épaissirent, son corps devint beau et effrayant à la fois. Je remarquai vite son intelligence, et lui appris à lire et à écrire. Alors il me voua un respect sans égal et devint mon soumis mais inégalable secrétaire, homme de main et garde du corps repoussant et dissuasif à la fois. Je crois que c’est à partir de là que les affaires prospérèrent. Je fus entourée d’une aura particulière. Femme seule, belle, jeune, scandaleuse, tenancière mais pas prostituée, accompagnée d’un grand homme noir balafré et réputé dangereux, j’acquis une clientèle de plus en plus sélective et riche. Les artistes et jeunes loups entrés chez moi par hasard amenèrent avec eux plus tard une clientèle plus aisée, plus perverse aussi. Je n’avais au début que trois prostituées travaillant pour moi. Trois chambres à l’étage, rose, violette et rouge. Peu ou pas de décorations. Des petits moyens. Je pris la décision d’appeler mes filles par le nom de leur chambre. Rouge était maigrelette, brune, vulgaire mais glaciale. Cette froideur compensait étrangement son corps somme tout peu féminin. Elle était entrée chez moi sans incident marquant, au fond elle ne m’intéressait guère. Je l’habillais de rouge pour rehausser son teint, et elle occupa naturellement la petite chambre associée. Les clients en étaient satisfaits. ...
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