Le secrétaire, Rose et Rouge
Datte: 21/06/2021,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
couleurs,
prost,
grossexe,
laid(e)s,
fsoumise,
fdomine,
hdomine,
soubrette,
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
gifle,
fouetfesse,
portrait,
... Elle savait se déshabiller et faire durer le plaisir. Pas bête, elle vous faisait des pipes de gourmande, tout en conservant hors de la chambre un air de veuve sage. J’avais remarqué qu’elle guettait et aguichait mon dévoué scribe. Je pensais que celui-ci dédaignait ses manières peu graciles et glacées. Mais c’était mal connaître son instinct de fauve. De plus il aimait dominer et soumettre, comme moi d’ailleurs. Je le surpris un jour, assis dans un fauteuil tel un pacha, avec à ses genoux ma fière Rouge, le cul à l’air, rougi et vraisemblablement fessé de peu, en train de sucer la grande bite pourpre. Farouk lui tenait la tête fermement avec sur ses traits un mélange de mépris et de plaisir. Je vis sur son visage les prémices de la jouissance ; il recula la tête de sa petite garce et lui éjacula un jus blanc sur le visage. Elle voulut s’essuyer – un réflexe de travail sans doute – et reçut alors un coup bref mais douloureux sur la croupe. Elle comprit et se mit à lécher le jus de son amant, nettoyant de sa langue ses doigts, son visage et la queue de son maître. J’avoue que je ne suis pas de bois ; ce petit plaisir voyeur me mit dans des états…liquides. Je rentrai dans mon bureau, qui me servait à mes débuts également de chambre et appelai Rose… Rose était mon jouet. Elle avait eu grâce à mes faveurs la plus jolie chambre, mais il faut dire que la donzelle savait s’en prendre à mes points faibles. Le jour de son entretien d’embauche, elle était d’une timidité maladive, ne ...
... prononçant pas un mot. Voulant tester sa pudeur, je la fis se dévêtir. C’est alors que je découvris un corps de reine : des petits seins en pomme, une peau dorée de fille de ferme, des jambes longues et graciles, un cul potelé mais ferme, un ventre plat. Moi qui ne saurais vivre sans hommes, je goûte volontiers les plaisirs saphiques, et je fus toute émoustillée de cette timidité et de ce corps magnifique, qu’il me fallait impérativement plier à mes désirs. Je l’embauchai mais ne la jetai pas en pâture à mes clients aussitôt. J’étais jeune, peu riche mais pas pauvre, j’avais besoin d’une chambrière… Je lui proposai de se former petit à petit. Elle n’avait pas de famille, nulle part où aller et m’était donc attachée et quasi servile. Je ne pus m’empêcher de profiter de la situation. Elle était maladroite, mais douce. Je sentais qu’elle s’attardait le soir en me déshabillant, et que ces gestes avaient la gaucherie des cœurs tendres. Un soir, je dus la corriger pour une erreur bien futile, mais je mettais toujours un point d’honneur à exercer mon autorité. Je la fis donc venir dans ma chambre, lui ordonnai de défaire sa robe afin d’être légèrement fouettée. La pauvre avait une sainte peur des coups. Je lui demandai de me déshabiller. Une fois en liquette, avec en face de moi ma belle et contrite Rose, je me retournai, face à elle. Elle rougit de nos quasi-nudités. J’avançai une main, en lui murmurant qu’il y avait toujours des échappatoires aux punitions. Je lui pris un sein ; il ...