1. Le jour de l'an


    Datte: 21/06/2021, Catégories: fh, ffh, fête, hsoumis, miroir, Oral 69, pénétratio, yeuxbandés, confession, entrecoup, extraconj,

    ... le voir, mais nous si. La femme d’un zip rapide enlève sa robe. Adèle a dû l’entendre, mais aveuglée ne peut sûrement pas imaginer à quoi ce bruit correspond. Seins nus, la tentatrice nous apparaît. Elle ne porte qu’une culotte, triangle minimaliste que seules des ficelles retiennent. Elle revient vers son élève. Elle se saisit de ses deux mains et les conduit sur chacun de ses seins. La surprise est totale. Les paumes n’ont pas pu ignorer la réalité des lobes, même si le contact a été bref comme si le réflexe était celui d’une main sentant la brûlure d’une flamme. — Oh. Qu’est-ce que tu… C’est… Pourquoi ? Sandrine ne répond pas. Elle reprend les mains pour les guider à nouveau sur sa poitrine. Cette fois-ci, alors qu’elle les libère, celles de ma femme restent en place. Elles semblent figées, paralysées. Et puis lentement, elles reprennent vie. Les paumes prennent conscience du volume offert, de la texture de la peau, de la douceur, mais elles en connaissent déjà la délicatesse. Elles revivent. Les doigts apportent leur contribution. J’adore que ma femme se caresse les seins alors que nous baisons. Elle sait se procurer du plaisir en tordant et torturant ses tétons. Le « C’est bon » qui sort de son initiatrice ne peut que la rassurer. — Tu vois. Je te l’avais dit. Putain, ça m’excite à chaque fois. En plus, ta femme fait si jeune qu’on se croirait avec une ado à peine majeure. Il défait sa braguette et extrait son sexe en début d’érection. Je souhaite qu’à son âge je sois ...
    ... encore sensible à une vision comme celle-ci et non pas blasé comme beaucoup. — Suce-moi. Je vais regarder ta femme se faire gouiner. Il n’y a rien de mieux au monde que de se taper le mari et la femme, même si c’est par procuration. Il se met de profil, amateur éclairé pour me laisser en position de voir aussi à côté pendant que je… Chaque fois, c’est nouveau. Pourtant je ne compte plus le nombre de fois où j’ai sucé cette queue. Déjà en quelques léchouilles il est dur et le gland me paraît monstrueux vu de si près. Il est dans ma bouche et d’un regard de biais, je surveille ce qui se passe à côté. C’est un peu comme un film qui saute ou une vidéo par un internet à faible débit où chaque microcoupure fait sauter l’image oubliant des plans intermédiaires. Sandrine qui se laisse caresser en encourageant par des « oui, continue » que je connais si bien et qui s’arrange pour attraper le bas de la robe de ma femme et commencer à le tirer vers le haut. Adèle ne peut ignorer ce qui se passe et… La bite se pousse dans ma gorge. Mon seigneur me rappelle à l’ordre. Je l’avale un peu et commence à le branler avec mes lèvres. Je repousse son slip pour que ma main vienne envelopper ses couilles. Déjà gonflées, pleine de liqueur alors que je ne fais que commencer. — Beau morceau, dit une voix là-haut et qui me fait constater qu’Adèle est en petite tenue. La robe a repoussé son bandeau. Elle n’a plus l’excuse de ne pas savoir, comme le disait celui qui palpite dans ma bouche. Elle découvre ...
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