Le jour de l'an
Datte: 21/06/2021,
Catégories:
fh,
ffh,
fête,
hsoumis,
miroir,
Oral
69,
pénétratio,
yeuxbandés,
confession,
entrecoup,
extraconj,
... comme si elle cherchait à comprendre comment… Je vois le mandrin ressortir, grand, brillant… Merde, il n’a pas mis de capote ! — Il n’a pas mis de capote, dis-je à celle que je laboure.— On est clean, tu le sais et ta femme m’a dit qu’elle n’avait pas eu d’amant. Et voilà, en quelques heures Sandrine s’est fait la confidence de mon épouse… De toute façon, cela n’a plus d’importance. Pascal se libère, bougeant avec plus de force alors que ses mains s’agrippent aux hanches de la femelle. Ma pute de femme ne se prive pas de se cambrer pour aller au-devant de ce vit que finalement sa grotte accepte sans façon. C’est affreux. Je suis le pire des maris. Par mon attitude, ma lâcheté, la satisfaction de mon vice, j’ai entraîné ma femme dans la luxure. En une soirée, quelques heures à peine, elle s’est laissé séduire par une femme dans des jeux lesbiens et maintenant elle paye ma faiblesse en se faisant prendre par Pierre. Ses seins se balancent sous les poussées du mâle. Le chibre coulisse si facilement que je ne peux douter du plaisir qu’elle ressent. Son regard est mouillé de tant de sensation. Elle pleure et maintenant j’ai compris que ce n’est pas de regret, mais de plaisir. Je suis fasciné et c’est Sandrine qui se charge de s’activer sur mon bâton. Elle sait y faire avec ses mouvements tortueux qui m’excitent. Je crache le premier. Évidemment, ce salaud de Pierre qui s’est déjà vidé une fois peut durer plus longtemps. C’est aussi bien, cela me laisse toute l’attention ...
... nécessaire pour les entendre jouir, même si Adèle est toujours aussi peu parlante, lui l’est pour deux. Et que dire de ce mandrin encore bien gros qui se retire libérant le sperme qui s’évacue de la fente. — Tu devrais descendre. Pierre va te rejoindre et moi j’accompagnerai ta femme. Ainsi personne ne saura. Personne ne saura ! Mais si, moi je sais ! Ne suis-je pas le premier intéressé ! La salope ! La putain ! Pire, vicieuse qui cache son jeu pour se laisser baiser par le premier venu. C’est le genre de pensées que j’ai alors que je suis de retour au sous-sol un verre à la main, cherchant quoi ? L’oubli ? Le pardon ? C’est un peu comme après une jouissance où, sans nouvelle excitation, les hormones « calment » les hommes. Il ne reste que deux couples dans la pièce et encore, à la façon dont ils dansent, ils feraient mieux de passer à côté. Ils me regardent du coin de l’œil. Il est évident que nos hôtes ont fait passer le mot « Retenue devant les nouveaux ». Ils quittent la pièce alors que Pierre revient. Lui aussi se sert à boire. Il a la « bonté » de ne pas enfoncer le clou avec une remarque ou un sourire de celui qui a gagné, juste : — Elles vont nous rejoindre. Nous attendons. C’est bien long. — Mais que font-elles ?— Il faut laisser le temps à ta femme de revenir sur terre.— Tu parles comme si tu lui avais fait connaître le paradis.— Qui sait ?— Salaud !— Je plaisante. Tu n’as pas de complexe à avoir. Ta femme a dit à la mienne que tu la comblais. Tu vois bien.— Décidemment, ...