Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle : Un résumé.
Datte: 22/06/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... couple, la construction d?une famille, être une bonne bourgeoise et une femme d?intérieur. Mon mari ne me satisfaisait pas, il était souvent absent. Pire, il ne cessait de me pousser à l'adultère, connaissant ma libido débordante. J'avais fini par accepter de « m?habiller » de façon ultra-provocante, portant des tenues indécentes, avec lesquelles on voyait sans problèmes mes seins et mes cuisses. Philippe insistait sans cesse pour que je prenne un amant. Ce que j'ai refusé alors avec indignation, voulant être fidèle à l'homme que j'aime. Beaucoup de ses amis, de nos voisins, de ses collègues de travail, me draguaient ouvertement. Je ne donnais pas suite et repoussais ces avances, plus ou moins brutalement selon leur origine, mais sans laisser le moindre espoir. Philippe tenait souvent des propos qui les encourageaient ouvertement, par exemple en disant que j'étais totalement libre et qu'il ne verrait aucun obstacle à ce que je prenne des amants. Je passais à tort pour une allumeuse. Le scandale de notre journée de mariage avait en grande partie annihilé nos relations sociales et familiales et ruiné notre réputation, devenue sulfureuse, tout particulièrement la mienne. Pour beaucoup, quand on parlait de nous, Philippe était le cocu et moi j?étais la putain. La conséquence immédiate était de limiter nos relations sociales. Le destin m'a fait alors rencontrer Agun, une jeune masseuse thaï, avec qui j'ai enfin assumé pleinement mon saphisme. Ma masseuse était folle de moi et ...
... j'étais aussi amoureuse. Notre liaison a duré plusieurs mois et a apaisé ma frustration, même si rien ne peut remplacer un vrai mâle. Agun a dû ensuite rentrer dans son pays. Nous nous sommes retrouvées en 2014 et depuis, elle est plus que ma maîtresse, elle est ma femme. J?en reparlerai car cette jeune femme est essentielle pour moi. En 2005, j'ai fait une nouvelle et grave entorse à mon serment de fidélité à Philippe, en me laissant forcer par le concierge et son fils, dans le parking de notre immeuble. J'ai honte du comportement que j'ai eu alors, en particulier vis-à-vis de Georges, notre concierge. Ce soir-là, ma tête disait non, mais mon corps disait oui. J'étais dans une impasse totale : inactivité en journée, peu de relations sociales du fait de ma réputation et de ma peur de céder aux tentations, un mari adorable, amoureux fou, mais qui ne m'apportait pas tout le plaisir que j'attendais, en tout cas au moment de la pénétration et qui, au surplus, ne cessait de m'encourager à prendre un amant et à satisfaire ses envies candaulistes. Et il y eut, au printemps 2007, cette soirée chez Christine et Jean, où je faillis céder à celui-ci, ce qui ne se fit pas du fait d'une défaillance inattendue de ce libertin. LA TENTATION DE RIO (récit 8) Malgré le désir qui me tenaillait le ventre, je voulais tenir, ferme sur ma résolution de rester une épouse sage, fidèle, malgré ma profonde frustration. Alors que j'avais déjoué plus ou moins bien tous les pièges destinés à me faire « tomber ...