Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle : Un résumé.
Datte: 22/06/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... », c'est de façon imprévue que j'ai craqué, lors d'un voyage seule au Brésil, draguée sur une plage par deux jeunes garçons, que j'ai ramenés à mon hôtel. C'est ce moment-là que ma vie de femme a basculé. Ce jour du printemps 2007, comme quelques mois plus tard avec Rachid, ce sont de parfaits inconnus qui allaient réaliser ce que tant d'autres avaient tenté en vain. Je m'étais offerte à de parfaits inconnus, sans la moindre précaution. Je me rendais compte que dans une telle situation, je n'avais aucune limite. J'avais certes connu le plaisir comme jamais, j'avais rendu Philippe heureux, à distance et je laissais un merveilleux souvenir à ces jeunes gens. J'étais partagée entre l'envie de continuer, et donc de jouir sans limites, et la peur des conséquences potentiellement graves de cette attitude que je savais dangereuse et irresponsable. A mon retour, mon isolement s'était encore accru et ma frustration également, d'autant que j'avais goûté au Brésil tout ce que pouvait m'apporter un retour à l'hypersexualité. Pour éviter les tentations, j'avais décidé de cesser toute sortie, tout événement mondain, tout contact avec un homme autre que Philippe. SOUS LES GRIFFES DE RACHID (récits 9 à 11) Philippe se disait qu'il avait tout essayé et que, du fait de mon entêtement à refuser ma nature, il ne voyait plus quelle autre piste explorer. C?est alors que Georges, le concierge entra en jeu, mettant sur notre chemin Rachid le prédateur. Ce jeune beur de la zone sensible de la ville ...
... où nous habitions alors avait déjà « fait ses preuves » avec Sylviane, sa prof de Français. Après avoir hésité, Philippe finit par accepter de faire appel à Rachid. Mon adultère définitif et permanent a commencé en juillet 2007, non dans une sortie mondaine, dans un dîner ou autre, mais à l'occasion d'un bref passage au supermarché du quartier. C'était là que m'attendait mon prédateur, Rachid et c'est dans mon immeuble même (et pour être plus précise dans l'ascenseur de mon immeuble, le concierge, complice de Rachid et de Philippe, ne perdant pas une miette des preuves auditives de ma capitulation) qu'il a remporté sa victoire éclaire et complète. C'était une étape décisive qui était franchie. Plus question désormais d'épouse sage. Philippe l'avait voulu, il devait assumer et je lui ai tout raconté. C'est dans cet appartement, dans le lit conjugal, que, chaque jour, je serai possédée par un homme que je ne connaissais pas le matin même du jour où je suis devenue sa « femelle ». Très vite, Rachid a commencé mon « éducation ». Je passais désormais mes journées à faire l'amour avec Rachid. J'étais insatiable, voulant rattraper toutes ces années perdues. Rachid n'avait aucun souci de discrétion, si bien que, très vite, tout l'immeuble sut ce qui se passait chez les T et nous jugeait sévèrement, j?étais définitivement cataloguée comme une putain et Philippe était méprisé pour sa complaisance. Rachid et moi sortions en ville, enlacés. Nous nous embrassions publiquement. Rachid avait ...