1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle : Un résumé.


    Datte: 22/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... n?est pas ce que je préférais car, dans cet immeuble bourgeois, ces jeunes gens étaient plutôt coincés et peu performants, à la différence des copains de cité de Rachid, dont je parlerai un peu plus loin. Nous avons finalement été contraints de quitter cet immeuble pour une villa où nous étions plus à nos aises pour notre vie intime, même si je gardais la nostalgie de l'immeuble qui avait vu la transformation de ma vie de femme. Je ne pouvais par exemple pas prendre l'ascenseur sans me rappeler ce qui s'y était passé lors de ma première rencontre avec Rachid. Rachid est allé plus loin que de m'offrir aux autres mâles de notre ancien domicile. Tous les mardis après-midi, sauf pendant ma grossesse, je suis allée m'offrir aux jeunes de la cité de Rachid, choisis par lui, puis par ses complices Kamel et Sofiane. Après une première séance dans une cave, cela se passait dans l'appartement de Kamel. La plupart de ces jeunes étaient peu expérimentés, voire «puçeaux». Ils étaient, selon les semaines, entre cinq à dix qui profitaient de mon corps. Souvent en présence de Rachid, qui se comportait comme mon mac, et aussi de temps en temps en présence de Philippe, qui se faisait copieusement insulter par ces jeunes, qui ne comprenaient pas qu?un mari laisse son épouse se comporter ainsi et qu'en plus il y trouve du plaisir. J'ai fait ça pendant des mois, jusqu'à ce que ma grossesse m'oblige à interrompre ces rendez-vous. Je les ai repris après la naissance de Lucie, jusqu'à ma rencontre ...
    ... avec Hassan et ma rupture avec Rachid. Depuis que je passais chaque semaine une après-midi à la cité pour m'offrir aux jeunes du quartier, j'avais encore gagné un échelon dans l'échelle de débauche que Rachid avait dressée pour moi. Philippe avait voulu cela mais il était déchiré. D'un côté, il avait peur que je ne me perde dans l?escalade de luxure, il avait peur de me perdre. D?un autre côté, il ne contrôlait pas plus son candaulisme que je ne contrôlais mon hypersexualité. Non seulement il laissait faire, mais il m'encourageait. Il était souvent le spectateur ravi de mes débauches. Il avait mis des années à me faire basculer vers mes penchants naturels qui devenaient incontrôlables. Il avait ouvert la boite de Pandore et, au fond, il était heureux que je réalise ses fantasmes les plus inavouables. Philippe était le plus cocu des maris mais toujours plus amoureux de sa femme. Et moi j'étais toujours amoureuse de lui, reconnaissante qu'il ait tant insisté pour que j'assume pleinement mon hypersexualité que j'avais tant cherché à réprimer. Convaincu qu'il n'y pouvait rien, sachant que ce qui se passait, il l'avait voulu, Philippe acceptait que Rachid soit devenu le mentor sexuel incontesté et incontestable de son épouse légitime, amant, initiateur, guide, gourou, maître. Il était devenu le maquereau de sa putain conjugale ; il m'avait ferrée, pervertie au point d'avoir créé chez moi une addiction. Il jouait avec moi en me soumettant à tous ses délires. Et peu importe qu?il ...
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