1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle : Un résumé.


    Datte: 22/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... était devenu l?objet de la réprobation générale. Il restait un endroit où la réputation de Philippe était sauve, en apparence du moins, c'était à son travail. L'esprit pervers de Marie la poussa à suggérer à Rachid de mettre fin à cette exception et pour cela, il fallait que mes débauches se passent y compris sur le lieu de travail de Philippe, en sa présence. Ce qui fût fait, avec ses collègues. Une séance fût même proposée aux femmes tentées par une expérience saphique. LE CANDAULISME JUSQU'AU BOUT (récit 22) Pendant les premières semaines de notre trio candauliste, Rachid m'avait peu à peu transformée en «salope intégrale» et j'avais accepté toutes les épreuves d'initiation qu'il avait imposées, sans rechigner. Au contraire, j'assumais pleinement mon hypersexualité qui n'avait plus de limites, de même que Philippe poussait au plus loin son candaulisme. Aveuglée par mes sens, je ne réalisais pas le cynisme monstrueux de Rachid, malgré son jeune âge. Philippe, prisonnier de son candaulisme, accepta tout, y compris que Rachid me mette enceinte, mon mari assistant à ma fécondation. C'est ainsi que s'est passée la conception de notre première fille, Lucie, aujourd'hui âgée de 9 ans et enregistrée à l'état-civil comme la fille de Philippe. TROP LOIN (récits 24 à 28) Si nous avons tout accepté, nous n'avons été contraints à rien. Nous n'avons pas hésité à ruiner notre réputation dans la ville, méprisés tant dans la « bonne société » que dans le quartier sensible, où les jeunes ...
    ... se vantaient de « cocufier T », un notable de la ville. Même les partouzes sado-masochistes du week-end, organisées au «château», je les acceptais. Et pourtant, les choses allaient de plus en plus loin et je n'ignorais ni les conséquences, ni les menaces qui pesaient, la plus grave étant la volonté de Marie C de me détruire et de me prendre Philippe. Celui-ci, même s?il avait eu des relations sexuelles avec elle, continuait à me porter un amour exclusif, et cela rendait Marie folle de rage et donc particulièrement dangereuse. Pourquoi alors acceptais-je tout cela et je n'y mettais pas fin, comme Philippe m'y avait invité à plusieurs reprises ? J'aurais pourtant du comprendre que Rachid n'avait aucun sentiment pour moi. Au contraire, à travers moi et Philippe, il pensait prendre sa revanche sur les gens des beaux quartiers, en humiliant un notable et en montrant à tous qu?il faisait ce qu?il voulait de la belle épouse de celui-ci. Il n?avait donc pas besoin d?être poussé beaucoup pour aller dans le sens voulu par sa complice Marie C. Il m?a fallu beaucoup de temps pour le comprendre. Depuis le jour où Rachid m?avait « forcé » dans l?ascenseur de mon immeuble, j?avais été follement amoureuse de lui. Il pouvait tout me demander. Ce qui ne m?empêchait de continuer à aimer Philippe. Rachid, je le rappelle, avait 11 ans de moins que moi. Il avait un visage d?ange, un corps de Dieu, musclé. J?étais folle de lui. J'obéissais ainsi à mes sens. Je n'imaginais pas pouvoir me passer des ...
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