Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle : Un résumé.
Datte: 22/06/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... étreintes, des saillies de Rachid. J'étais insatiable. Avant lui, personne ne m'avait donné autant de plaisir. Ma chatte, ma bouche, mon anus, ne pouvaient se passer de sa superbe queue et ses caresses me rendaient folle. Tant en ce qui me concernait pour mon hypersexualité, que Philippe pour son caudaulisme, nous poussions jusqu'au bout nos fantasmes et nos tendances naturelles. Nous n'avions pu aucune limite. Rachid l'avait compris et en profitait sans vergogne. Il y avait l'emprise qu'avait alors sur moi Rachid, dont je n'imaginais pas à l'époque pouvoir me passer. Il suffisait d'ailleurs qu'il pose les mains sur moi et commence à me caresser, puis à me posséder pour que soit annihilée chez moi toute volonté de m'opposer à ce que voulait pour moi mon homme, mon mâle, mon maître. Pour l?état-civil, j'étais Mme Philippe T., mais dans la réalité j'étais la femelle de Rachid. J'avais déjà connu beaucoup d?amants avant de la rencontrer, mais dès la première fois où il m?avait prise, j?ai eu le sentiment d?un paroxysme de plaisir, de n?avoir jamais rien connu avant. Philippe, sur les conseils de notre concierge Georges, avait trouvé celui qui m?avait fait définitivement basculé vers l?hypersexualité, permettant d?assumer enfin tous ses fantasmes candaulistes. Chaque coït avec Rachid entrainait des orgasmes qui me laissaient au bord de l'évanouissement, en particulier quand Philippe assistait à nos ébats. Je lui offrais ce qu'il avait tant attendu, il me semblait que ma chatte ...
... était comme le fourreau de l'épée de Rachid et je ne me lassais jamais d'être baisée par Rachid. Nous ne voulions pas comprendre que nous avions croisé la route d'un prédateur, d'un petit voyou qui, à travers nous, réglait ses comptes avec les « bourge », me transformant toujours davantage en « salope intégrale » et veillant aussi à humilier Philipe, ce notable qu?il méprisait Il y a eu pourtant plusieurs épisodes, avant la naissance de ma fille Lucie, où Rachid est allé de plus en plus loin et, où, à chaque fois, Philippe et moi nous nous sommes dits qu'il fallait mettre fin à ces dérives graves. Mais à chaque fois, il suffisait que je me retrouve dans le lit de Rachid pour que toute volonté m?abandonne, pour que je renouvelle ma totale soumission à celui qui était devenu non seulement mon mâle, mais mon maître. Il y avait eu par exemple une séance d'abattage dans le foyer de travailleurs migrants de la ville ou des séances de gang bang particulièrement hard. C'est au cours de l'une de ces séances que j'ai rencontré un jeune Sénégalais ami de Rachid, Ahmadou. J'avoue avoir eu peur la première fois où il m'a baisée que ce jeune homme ne m'estropie, tellement son engin était monstrueux. Mais j'avais alors connu un plaisir inouï. La grossesse n'avait pas calmé mes envies et Rachid continuait à me pousser dans les bras d'autres hommes. Pendant ma grossesse, et jusqu'aux environs du sixième mois, Rachid a continué à assumer son rôle de « mâle », avant de s'éloigner brutalement de ...